Xavier Beulin nouveau président de la FNSEA
Il y indiquait notamment qu’il importait pour les agriculteurs de « gagner en
compétitivité, de reconquérir la juste part de valeur ajoutée, de favoriser
l’investissement et la modernisation de nos exploitations » face à l’ouverture
des marchés.
Avant son élection à la FNSEA, Xavier Beulin a annoncé qu’il renoncerait à la
plupart de ses responsabilités, à l’exception de Sofiproteol. Un exemple selon
lui « pour mettre en œuvre, avec d’autres partenaires, nos ambitions ».
PARTOUT, mais vrai-vrai-vraiment…….. partout !
Voici comment un agriculteur politicien noyaute le système
Monsieur Xavier Beulin a été nommé récemment Président de France Agri Mer, par le Ministre de l’agriculture !
Il y a beaucoup à dire sur Xavier Beulin, et son curriculum vitae.
- FNSEA, Cetiom, Sofiproteol, Chambres d’agriculture, CESR, etc……
« M. Xavier BEULIN »
Né le 19 décembre 1958 à Donnery, Loiret
Exploitant agricole en GAEC dans le Loiret depuis 1976 sur une exploitation de 170 hectares de grandes cultures, céréales et oléoprotéagineux.
RESPONSABILITÉS :
RÉGIONALE :
1. Président du Conseil économique et social régional du Centre (CESR) (depuis 2001).
2. Président de la chambre départementale d'agriculture du Loiret (depuis 1995).
3. Vice-président de la Fédération départementale des syndicats d'exploitants agricoles du Loiret (FDSEA) (depuis 1990).
4. Premier Vice Président de la chambre régionale d'agriculture du Centre.
5. Président de la commission "Questions agricoles" de l'Assemblée des Conseils économiques et sociaux régionaux de France (depuis 2005).
6. Membre de la Conférence nationale des services publics en milieu rural (depuis 2005).
Président de l’Association Bioénergie Centre (depuis 2006)
Président du Conseil de Développement de la Communauté d’agglomération Orléans Val de Loire (depuis 2004)
NATIONALES
7. Premier Vice Président de la FNSEA depuis 2005 et Président du Comité de coordination des associations spécialisées
8. Président du Haut Conseil à la Coopération Agricole (HCCA) (depuis 2007)
9. Président de la Fédération nationale des producteurs d'oléagineux et protéagineux (FOP) depuis 1999
10. Président de Sofiproteol (depuis 2000)
Président du Cetiom (Centre Technique Interprofessionnel des oléagineux métropolitains) (depuis 2000)
11. Membre du conseil de direction de l'Office national interprofessionnel des grandes cultures (ONIGC) et administrateur de l’Agence unique de paiement (AUP) (depuis 2006)
12. Membre du groupe restreint du comité technique permanent de la sélection des plantes cultivées (depuis 2006).
INTERNATIONALES :
Président de l’Alliance Européenne des oléoprotéagineux (EOA) (depuis 2002)- L’EOA a pour objet de défendre le secteur oléagineux européen au travers de dossiers d’intérêt général.
Membre du Conseil de prospective européenne et internationale pour l'agriculture et l'alimentation (depuis 2006)
DÉCORATIONS :
Officier du Mérite Agricole
Chevalier de l’Ordre National du Mérite.
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Il faut espérer que les médias et le public sauront faire la part des choses, entre me surettes et réforme profonde.
Aujourd’hui, l’agriculture a besoin d’une vision à long terme, pour une protection sociale dans nos campagnes.
Aussi dit campagne !
Protection de la biodiversité, de l’environnement, il faut exiger des Politiques des ambitions à la hauteur du désastre causé par la Politique Agricole Commune (PAC) instauré par ce même Syndicat nommé FNSEA.
LE COSTUME DES JOURS OUVRIERS - ARTISANS ET PAYSANS
LE COSTUME MASCULIN
Au XVIIIème siècle, la chemise et la culotte de toile sont les vêtements de travail des ouvriers agricoles l'été. Un mouchoir de toile noué autour du cou complète la tenue. Les guêtres ou houseaux de toile ou de coutil protègent les bas ou les jambes (pour ceux qui n'ont pas de bas. Les sabots de bois économisent les chaussures réservées aux jours de fête. Le chapeau à bord (feutre de laine) abrite du soleil ou de la pluie et se porte sur un bonnet de laine.
A la fin du XVIIIème siècle, le velours de coton est adopté pour la confection des culottes et la siamoise (chaine:lin - trame:coton) rayée pour les pantalons.
Au XIXème siècle, la blaude ordinaire (non brodée) connut un grand succès tout au long du siècle chez les classes laborieuses, elle fut parfois le seul vêtement avec le pantalon de coutil.
La casquette devient une coiffure populaire vers le milieu du XIXème siècle. Précédemment, les premières casquettes furent portées par des citadins et des propriétaires ruraux fortunés. A partir de 1850 environ, elle devint le crouvre-chef des ouvriers, des paysans et des matelots. C'est vraisemblablement à la fin de ce siècle que la casquette "à pont" est à la mode chez les cultivateurs.
La cravate, comme au siècle précédent, est un mouchoir noué.
Les vêtements de protection sont rares : les gilets de peau de mouton préservent du froid et de l'humidité. Le tablier de cuir est porté par les bourreliers et les forgerons.
PAYSAN AVEC MOUCHOIR DE COU ET BONNET DE COTON
PAYSANNES PORTANT CALIPETTE ET BONNET DE DESSOUS
LE COSTUME FÉMININ
Au XVIIIème siècle, la tenue féminine quotidienne comprend : Chemise de toile à manche, corselet, jupes de toile ou de siamoise légère ou d'épais tissus selon la saison, mouchoir de cou, bonnet matelassé, tablier de toile oiu de lin, bas de laine et sabots de bois.
Pour s'abriter des intempéries, la femme s'enveloppe dans une cape appelée "capot", un vaste capuchon protège la tête. Quelquefois c'est un tablier de droguet que l'on met sur la tête et les épaules poyur se protéger du mauvais temps. On l'appelle "tablier à s'affubler".
Au XIXème siècle, les articles de bonneterie, par leur bon marché et leur facilité d'entretien, sont adoptés par les femmes, en particulier le bonnet de coton, qu'elles portent le jour pour travailler. Mais elles possèdent d'autres bonnets journaliers : bonnets matelassés (simples et de petites dimensions), serre-tête, calipettes, bonnets à pattes nouées sous le menton, bonnets carrés. Elles utilisent aussi le dessous des bonnets ronds qu'elles portent les jours fériés (départements de l'Eure et de la Seine-Maritime autrefois Seine-Inférieure).
L'abondante production normande des mouchoirs de cou imprimés permet aux femmes d'en posséder un grand nombre aux décors variés.
Les bas de coton fabriqué sur métier sont unis, rayés et même imprimés.
PAYSANNE PORTANT BONNET DIT "CALIPETTE"
PAYSANNE PORTANT UN BONNET SERRE-TÊTE
( DUCLAIR ET LES BORDS DE SEINE)
JEUNES PAYSANNES ENTOURANT UN RICHE FERMIER
PETIT BONNET SIMPLE
CALIPETTE FLEURIE
PAYSANNE GOÛTANT LE CIDRE NOUVEAU
BONNET DE VARENGEVILLE SUR MER
protéger les exploitations agricoles à taille familiale liées au territoire.
Dominique Barrau reste fidèle à ses convictions
Dominique Barrau reste fidèle à ses convictions
Mardi, c'était la première apparition de Dominique Barrau en Aveyron après sa défaite à l'élection de la présidence de la FNSEA, remportée par Xavier Beulin. Ne se cachant pas derrière sa déception, il n'a pas pour autant affiché un visage abattu. Mais plutôt déterminé. « Je savais à quoi je m'exposais. Mais à aucun moment je n'ai imaginé quitter le bateau. » Saluant ceux qui l'ont soutenu dans le département, tout en « respectant le secret des urnes », il a toutefois regretté que la strate régionale ne l'ait pas plus épaulé. « On paye encore la manifestation de Clermont-Ferrand, qui a mobilisé les agriculteurs du Massif Central », explique Dominique Fayel. Dominique Barrau a tenu cependant à souligner
qu'il n'était pas démobilisé, prêt à renouveler le combat pour la défense des zones de montagnes et fidèle à sa volonté de protéger les exploitations agricoles à taille familiale liées au territoire. « Je crois en cela. Pas question de sombrer dans un schéma unique d'exploitation. » Il compte sur les trois mois qui viennent, avant le congrès de Saint-Malo, pour caler tout cela.