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une «menace de fragmentation» de la société

28 Mai 2013 , Rédigé par jr Publié dans #Vie Politique

Antimariage : Bayrou évoque une «menace de fragmentation» de la société
28 mai 2013 à 09:12
Le président du MoDem, François Bayrou, le 3 avril 2013 à Paris.
Le président du MoDem, François Bayrou, le 3 avril 2013 à Paris. (Photo Kenzo Tribouillard. AFP)

   

Le président du Modem qualifie la mobilisation contre la réforme de «considérable» et croit déceler dans la société une inquiétude concernant la famille.

Par AFP
Libération

François Bayrou, président du Modem, a vu mardi dans les manifestations antimariage homosexuel un «mouvement considérable» illustrant la «menace d’éclatement» pesant, selon lui, sur la société française.

Comme i>TELE lui demandait si la «Manif pour tous» avait vocation à structurer la vie politique française, l’ex-candidat à l’Elysée a répondu : «Je ne crois pas. Mais je pense que c’est un mouvement considérable. Ca veut dire - on le voit depuis longtemps, même si le pouvoir n’a pas voulu le regarder pas plus aujourd’hui qu’hier - qu’il y a dans la société française, une menace de fragmentation, d’éclatement.»

Le menace «se manifeste en particulier sur tout ce qui est sociétal, dans la famille», selon François Bayrou. «Il y a en France - et je crois légitimement - beaucoup d’hommes et de femmes qui sont inquiets parce que ce qu’ils ont de plus précieux, ils le ressentent comme menacés». «Ceux-là ont le droit d’être entendus», a dit l’ancien député béarnais.

«Je ne crois pas évidemment qu’on effacera cette loi, mais on peut en faire le bilan, voir dans trois ans» ce que l’ouverture au mariage et à l’adoption pour couples homosexuels aura apporté, a suggéré François Bayrou.

«Surtout il y a une réflexion beaucoup plus large à mener sur la famille, la manière dont on l’aide», a ajouté le dirigeant centriste, hostile à la suppression des allocations familiales à partir d’un certain seuil de revenus.

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Garantie BVD NON IPI pour les éleveurs vendeurs

26 Mai 2013 , Rédigé par jr Publié dans #Santé du troupeau

Obtenir en 8 jours le statut BVD d'un veau né sur l'élevage, est désormais possible grâce au prélèvement auriculaire. Une technique simple, faite par l'éleveur lui même pour valoriser la vente. Le moyen de garantir à vie un statut non IPI. L'EARL Danet-Thomas à Guehenno (56) l'a adopté.
Maryse et Gilles Thomas ont adopté cette technique de qualification non IPI des petites génisses

Maryse et Gilles Thomas ont adopté cette technique de qualification non IPI des petites génisses - ©claire le clève

«C'est simple, c'est rapide et je peux très bien le faire moi même», résume Maryse Thomas détaillant la manipulation sur une petite génisse noire. La période est au vêlage. Et la recherche d'efficacité a fait opter ce couple d'éleveurs de 50 vaches laitières pour ce principe de prélèvement auriculaire. 7 boutons ont déjà été posés sur leurs veaux femelles. Car cette technique de test sur tissus (TST), validée par les GDS de Bretagne, a été récompensée lors du dernier Space par un Innovspace (voir encadré). Comme 80 % du cheptel breton, les vaches laitières de l'EARL Danet-Thomas sont indemnes de la maladie des muqueuses BVD. Et s'ils tiennent bien à ce qu'elles le restent, ils souhaitent que les acheteurs de la suite, le sachent également.

 

Simplicité

« Cette qualification non IPI est un avantage, et lors de la vente de nos petits veaux, pouvoir les garantir rapidement auprès de l'acheteur, en est un autre. Cela bénéficie à l'acquéreur comme au vendeur », poursuit l'exploitante. Alors, quand leur conseiller d'élevage GDS , Michel Gavaud, leur a parlés de ce nouveau test, les époux Thomas l'ont essayé, et adopté d'emblée, pour sa simplicité. « Quand le veau naît, il est déclaré. Les éleveurs reçoivent alors un bouton de prélèvement porteur du même numéro d'identification que les boucles. La pose se fait en même temps, sur l'oreille droite et le prélèvement est envoyé, le jour même sous enveloppe, au laboratoire », détaille le technicien.

 

Rapidité

Sous 8 jours, le statut BVD de l'animal est connu. «Et l'acheteur, sûr de ce qu'il achète, car la BVD arrive soit par l'achat, soit avec le voisinage», rappelle leur conseiller d'élevage GDS. «Et si on doit acheter des petites génisses, du coup on sera attentifs à ce qu'elles soient garanties avant la vente », enchaînent les époux Thomas pour qui, il n'est pas rare d'acheter de jeunes bêtes revendues amouillantes, «Avant, il y avait toujours le risque d’amener la BVD avec elles ». Un risque désormais écarté par un procédé dont le coût, variable par département, est en partie pris en charge par les GDS. « C'est de tout manière bien moins élevé que la prise de sang et l'intervention du véto et puis, il n'y a plus a bloquer les animaux », apprécient Marie et Gilles Thomas. «Et si on veut vendre nos génisses à 15 jours, nous avons tout les papiers, y compris la garantie non IPI». Un valeur sanitaire qui donne une valeur supplémentaire à l'animal tout en évitant le préjudice d'une annulation de contrat de vente et celui de négociations avortées...

Claire Le Clève

 

 
Le bouton est posé sur l'oreille droite avec une pince qui recueille le prélèvement auriculaire.

Le bouton est posé sur l'oreille droite avec une pince qui recueille le prélèvement auriculaire. - ©claire le cleve

Vous avez dit non IPI ?

Lancé en 2000 par les GDS de Bretagne, le plan de maîtrise collective de la BVD était basé sur la détection et l'élimination des Infectés Permanents Immunotolérants dits IPI. Un système très efficace qui a bien fonctionné, l'analyse sanguine des animaux permettant de les caractériser. Mais les ventes rapides de petites génisses ou de broutards, représentaient le maillon faible du dispositif, favorisant l'introduction de la maladie. Testé en 2010 dans 62élevages bretons, la méthode a prouvé son efficacité et été reconnue par l'Association de certification de la santé animale. Avec son innovspace, la méthode éprouvée est proposée à tous les éleveurs bretons qui veulent certifier leurs jeunes animaux (petites génisses laitières ou broutards). Une méthode que d'autres régions
françaises sont en train d'adopter.

 

http://www.gds38.asso.fr/web/gds.nsf/0/932d48caadb148b9c1256bff006857f7/$FILE/CCBVD01A.PDF   

 

À partir de ce modèle, il a été simulé le délai de détection de la circulation du virus de la BVD en nombre de jours après son introduction dans un troupeau laitier (600 simulations). Dans cet exemple, le premier test Elisa sur lait de tank est réalisé 10 jours après l’introduction d’une génisse non-IPI gestante d’un fœtus IPI (vêlage 20 jours après l’introduction). Dans 330 simulations sur 600, l’infection n’est pas détectée, ce qui est essentiellement dû à une très faible et courte épidémie dans le troupeau. Parmi les autres simulations, l’infection est détectée au bout de 6 mois dans 45 % des cas, mais il peut arriver, dans de rares situations, qu’elle ne le soit qu’au bout de deux ans, voire plus, et après la fin de la circulation active du virus.

http://www.cairn.info/revue-natures-sciences-societes-2010-1-page-3.htm   

 

Si les mres ont d.j. des anticorps

 

(s.ropositives) c'est qu'elles ont d.j.

 

.t. infect.es et la vaccination ne leur

 

apporte rien de plus. http://www.gds18.org/BVD/fichierspdf/BVDV_BVDG.pdf

 

 

 

 

 

 

 

 

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Pony Essence

25 Mai 2013 , Rédigé par jr Publié dans #vie d'autrefois

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petits ballots

19 Mai 2013 , Rédigé par jr Publié dans #Matériel

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Brûlage des déchets verts

16 Mai 2013 , Rédigé par jr Publié dans #Environnement

Brûlage des déchets verts



Le traitement des déchets végétaux agricoles suit une réglementation particulière. En effet, si le brûlage des déchets verts est autorisé pour les professionnels que sont les agriculteurs, il est interdit pour les particuliers. Il existe toutefois un certain nombre de prescriptions à connaître pour le département de l’Allier.

Procéder au brûlage des déchets verts

Qu’entend-on par déchets verts ?

Entre dans la catégorie des déchets verts tout bois provenant du débroussaillage, de la taille des haies, arbres, arbustes, ainsi que les fleurs et les résidus de tonte de pelouse.

Le brûlage des déchets verts est-il interdit ?

Le brûlage des déchets verts est interdit seulement pour les particuliers. Depuis 2004, les déchets verts sont en effet assimilés à des déchets ménagers et le Règlement Sanitaire Départemental interdit pour les particuliers tout brûlage à l’air libre, de tous déchets ménagers.

Les agriculteurs, dans le cadre de leurs activités professionnelles, peuvent donc brûler leurs déchets verts, et notamment le produit des tailles des arbres et haies.

Quelles prescriptions doivent être respectées ?

  1. Les distances de 100 mètres sont à respecter par rapport à tout bâtiment et de 200 mètres par rapport au stockage de matières dangereuses. Est en outre interdit tout brûlage qui aurait pour conséquence l’envoi du feu, des fumées ou de flammèches vers une route ouverte à la circulation ou vers des bâtiments.
  2. Le brûlage ne doit pas être effectué en période de grand vent.
  3. Attention, des contraintes supplémentaires s’appliquent pour les propriétaires de bois et forêts, les propriétaires de terrains non boisés situés à moins de 200 mètres des bois et forêt :

Du 16 septembre au 14 février (période verte), l’incinération des végétaux peut avoir lieu.
Du 15 février au 15 septembre (période orange), sont imposées les prescriptions suivantes :

  •  
    • le foyer doit se situer sur un emplacement débarrassé de matières inflammables, 
    • le feu doit être constamment surveillé et éteint complètement dès qu’il n’est plus utile.

Une demande motivée de dérogation peut être accordée par le Préfet, après avis du Maire de la Commune, lorsque les nécessités d’exploitation forestière, agricole ou autre ne permettent pas de répondre à ces prescriptions.

On peut donc tout brûler ?

Non. Selon le produit, le brûlage sera autorisé ou non :

  • Taille des arbres et des haies : L’agriculteur peut librement procéder au brûlage sur les parcelles dont il est propriétaire ou locataire.
  • Résidus de cultures : Les règles de la PAC viennent imposer des contraintes. En effet, la conditionnalité interdit de brûler les résidus de pailles, de cultures d’oléo protéagineux et céréales. Il faut donc en déduire que ce mode de nettoyage n’est pas autorisé et aurait des conséquences en matière de pénalités.
  • Foin coupé : Rien n’interdit le brûlage rendu nécessaire du foin coupé restant dans les prairies.

Et pour l’écobuage ?

L’écobuage consiste à brûler les végétaux avec leurs racines et leurs mottes.
Ici encore, les règles de la PAC imposent de nouvelles contraintes. Qui dit écobuage, dit retournement des parcelles. Or, la conditionnalité interdit de travailler des prairies permanentes. Sur des prairies temporaires, l’écobuage serait possible, à charge de réengager une parcelle équivalente.

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Ménager ses accès pour pâturer loin !

12 Mai 2013 , Rédigé par jr Publié dans #Environnement

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