Joseph DABEUX
la méthode OBSALIM.
Afin d’affiner ses techniques d’élevage, l’éleveur peut
utiliser l’observation du cheptel comme outil de
détection des déséquilibres et de réorientation de ses
pratiques (méthode OBSALIM).
http://christine-delbove.suite101.fr/homeopathie-veterinaire-a719
http://espritdelaterre.free.fr/IMG/pdf/ctma_bovins_fev_09.pdf
Joseph DABEUX Enseignant au Centre Liégeois d'Homéopathie |
Une technologie compétitive bien avant 2020
En juin 2007, le coût d’achat d’un panneau solaire variait entre 3 € et 3,20 € par Watt. Il est désormais entre 0,60 € et 0,80 €. L’année prochaine, les prévisions indiquent que ce coût tombera probablement à 0,50 € par Watt. Cette chute des prix a été difficilement soutenable pour certains acteurs de la filière en particulier en France où les usines de panneaux solaires ont presque toutes fermées.
http://www.quelleenergie.fr/magazine/electricite/photovoltaique-competitif-en-2012-8891/
Le Maire admet "des échecs" de Sarkozy
"C'est vrai qu'au début du quinquennat, on aurait pu faire des choix différents" a confié Le ministre de l'Agriculture Bruno Le Maire (UMP).
AFP
Le ministre de l'Agriculture, chargé du projet présidentiel de l'UMP, reconnait que des mesures prises au début du quinquennat ont été des erreurs.
Après la perte du triple A, certains au gouvernement font profil bas. Le ministre de l'Agriculture Bruno Le Maire, chargé de la rédaction du programme de l'UMP, préconise de "reconnaître" qu'il y a eu "des échecs" au cours du quinquennat de Nicolas Sarkozy et qu'à son début, "on aurait pu faire des choix différents".
Interrogé par le quotidien Libération ce lundi sur les choix du début du quinquennat, où la réduction des déficits n'était pas une priorité de Nicolas Sarkozy, Bruno Le Maire répond: "il faut avoir l'humilité de reconnaître que, dans ce que nous avons fait, il y a eu des vraies réussites, mais aussi des échecs".
"Cela nous rendra d'autant plus crédibles dans nos propositions. C'est vrai qu'au début du quinquennat, on aurait pu faire des choix différents", ajoute le ministre.
"La gravité de la crise chez nos grands voisins européens nous a aidés à ouvrir les yeux sur l'impératif de réduire nos dépenses publiques et de gagner en compétitivité", selon lui
Le petit Producteur
http://www.lepetitproducteur.com/presse.asp
la marque Le Petit Producteur. Des produits désormais commercialisés chez Monoprix, Leclerc et Carrefour.
La demande sera plus forte que l'offre
Pour vendre, Le Petit producteur s'appuie sur une demande forte du consommateur pour des produits locaux. « Il y a quatre ans, on a eu l'idée de mettre la photo et l'identité du producteur sur les barquettes de fraises. Depuis, cette pratique s'est généralisée. C'est une vraie garantie amenée par le producteur, de l'origine du produit et de sa qualité, puisqu'il s'expose aux consommateurs. C'est aussi pour lui un moyen de se faire connaître d'eux. Les éleveurs devraient recevoir plus de visites sur leur ferme ! », estime Nicolas Chabanne.