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Ils ont relevé la tête

31 Décembre 2010 , Rédigé par jr Publié dans #loisirs divers

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protéger les exploitations agricoles à taille familiale liées au territoire.

29 Décembre 2010 , Rédigé par jr Publié dans #FNSEA

Dominique Barrau reste fidèle à ses convictions

 




Dominique Barrau reste fidèle à ses convictions
Mardi, c'était la première apparition de Dominique Barrau en Aveyron après sa défaite à l'élection de la présidence de la FNSEA, remportée par Xavier Beulin. Ne se cachant pas derrière sa déception, il n'a pas pour autant affiché un visage abattu. Mais plutôt déterminé.   « Je savais à quoi je m'exposais. Mais à aucun moment je n'ai imaginé quitter le bateau. » Saluant ceux qui l'ont soutenu dans le département, tout en   « respectant le secret des urnes », il a toutefois regretté que la strate régionale ne l'ait pas plus épaulé.   « On paye encore la manifestation de Clermont-Ferrand, qui a mobilisé les agriculteurs du Massif Central », explique Dominique Fayel. Dominique Barrau a tenu cependant à souligner

qu'il n'était pas démobilisé, prêt à renouveler le combat pour la défense des zones de montagnes et fidèle à sa volonté de protéger les exploitations agricoles à taille familiale liées au territoire.   « Je crois en cela. Pas question de sombrer dans un schéma unique d'exploitation. » Il compte sur les trois mois qui viennent, avant le congrès de Saint-Malo, pour caler tout cela.  

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citoyen de Gammarth-Port ???

27 Décembre 2010 , Rédigé par jr Publié dans #actualité agricole

 

 

Vous ne l’avez peut-être pas relevé. Xavier Beulin, le nouveau président de la toute -puissante Fédération nationale des syndicats d'exploitants agricoles (FNSEA) qui regroupe depuis 1946, 70% des agriculteurs français, est citoyen de Gammarth-Port. Incarnant une nouvelle génération de dirigeants agricoles, il a été élu le 16 décembre 2010, par le conseil d’administration, succédant ainsi à Jean-Michel Lemétayer.

Propriétaire depuis 1977 d’une exploitation de 170 hectares dans le Loiret, Xavier Beulin, 52 ans, est également président de Sofiprotéol, un fonds d’investissement agricole, et président du conseil économique, social et environnemental régional (CESER) du Centre.

Grand amoureux de la baie de Tunis, il adore promener son regard sur le grand bleu méditerranéen, contemplant les hauteurs de Gammarth et le merveilleux village de Sidi Bou Said. Mabrouk.

 

 

http://www.leaders.com.tn/article/xavier-beulin-ce-citoyen-de-gammarth-nouveau-president-de-la-puissante-fnsea-en-france?id=3513




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Bovins : une production européenne en baisse en 2011

27 Décembre 2010 , Rédigé par jr Publié dans #Bovins

« En 2011, selon Agreste, la production bovine de l’Union européenne devrait atteindre 29,3 millions de têtes, inférieure de 1 % à la production attendue en 2010. Ce recul concernerait l’ensemble des principaux pays européens, excepté l’Espagne qui prévoit une production à la hausse. » Les productions de veaux, gros bovins et génisses devraient diminuer. Pour 2011 le cheptel de vaches se maintiendrait au niveau de 2010. Cette année-ci, « la production bovine européenne se stabiliserait », souligne la note d’Agreste qui évoque également le niveau du cheptel. En 2010, « le nombre total de vaches diminue de près de 1 %. Cette baisse est essentiellement due à la diminution du cheptel de vaches laitières qui perdrait près de 375 000 têtes. » Elle serait compensée par une progression du nombre de vaches allaitantes (+72 000 têtes). En France, la chute des effectifs de vaches laitières est importante (-74 000 têtes), comme en Pologne et en Allemagne. En vaches allaitantes, le cheptel reste stable à l’inverse de l’Allemagne, l’Italie ou l’Espagne.



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DAKAR 2011

25 Décembre 2010 , Rédigé par jr Publié dans #loisirs divers

 

 

 

 

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Coup de frein gouvernemental sur l'agriculture bio

21 Décembre 2010 , Rédigé par jr Publié dans #Environnement

Le projet de loi de Finances 2011 qui vient d'être adopté par le Sénat réduit de moitié le crédit d'impôts sur les revenus accordé aux agriculteurs convertis à l'agriculture biologique. Après l'environnement, le bio ça commence à bien faire ?...      Accusés de produire des aliments contenant des substances toxiques pour la santé du fait de l'usage intensif de pesticides de synthèse, d'appauvrir la terre par le recours massif aux engrais chimiques pour avoir des rendements de plus en plus élevés, d'assécher les cours d'eau pour irriguer les plantes, et de détruire la biodiversité, beaucoup d'agriculteurs gérant de petites exploitations se sont convertis à l'agriculture biologique, malgré les contraintes règlementaires très importantes, et les risques financiers. Et ils ont été encouragés dans cette démarche par différentes aides accordées par l'Etat : aides financières à la conversion et au maintien, remboursables, et aide fiscale annuelle sous forme de crédit d'impôts lorsque au moins 40 % des recettes proviennent d'activités relevant du mode de production biologique. Le montant du crédit d'impôt étant égal à 2 400 euros, majoré de 400 euros par hectare exploité selon le mode de production biologique dans la limite de 1 600 euros, soit un maximum de 4000€.
Ce crédit d'impôts avait été retenu pour remettre un peu de justice dans l'attribution des aides en ciblant surtout les petites structures qui n'en percevaient pas ou très peu.

Ces aides, le Gouvernement avait bien compris qu'elles étaient nécessaires pour développer rapidement l'agriculture biologique, et pour atteindre les objectifs fixés par le " Plan Agriculture bio " lancé en 2007, à savoir la conversion de 6% de notre surface agricole en production bio en 2012, et 20% en 2020.

Et elles ont été  relativement efficaces puisque la barre des 20 000 exploitations agricoles bio a été franchie en octobre dernier. Fin juillet 2010, on comptait 3000 nouvelles exploitations bio par rapport au 31 décembre 2009. Ce qui représentait un rythme de conversion en augmentation de 30% par rapport à la même période de l'année dernière.

Pour autant les terres agricoles bio ne représentent aujourd'hui que 2,5% de la surface agricole française. On est donc  encore très loin des objectifs du " Plan Agriculture bio ".

Le développement de l'agriculture biologique est pourtant une nécessité criante. En termes de santé publique bien sûr, car, faut-il le rappeler, le lien entre les pesticides retrouvés dans les produits agroalimentaires et un nombre croissant de maladies, dont le cancer,  ne fait plus aucun doute. En termes d'environnement aussi car la biodiversité est, on le sait, gravement menacée par l'utilisation des produits chimiques.  En termes d'emplois encore car dans les 15 prochaines années, 40% des agriculteurs vont partir à la retraite. Or les jeunes ont besoin de motivation pour prendre la relève. Et pour beaucoup  d'entre eux l'agriculture biologique représente un espoir, un travail noble, et une véritable mission qu'ils ont envie de mener. Enfin en termes économiques, le développement de l'agriculture bio  est indispensable car la demande en produits bio ne cesse d'augmenter. Et il est évidemment préférable d'encourager la production agricole bio sur nos terres  riches et abondantes,  plutôt que d'importer massivement des produits dont, par ailleurs, la certification bio n'est pas toujours garantie, du fait d'une réglementation beaucoup plus laxiste dans nombre d'autres pays, y compris de la Communauté Européenne, comme l'a démontré une enquête publiée par notre confrère L'Expansion.

Lire : Produits bio importés : faut-il les boycotter ?

Des économies qui vont nous coûter cher

Ce n'était donc vraiment  pas le moment de réduire l'aide fiscale accordée aux agriculteurs bio car nul doute que cette mesure va décourager beaucoup de candidats à la conversion et peut être même en amener d'autres à arrêter le bio.

Ce coup de rabot fiscal, qui va affecter essentiellement les petites exploitations, et qui ne rapportera à l'Etat que l'équivalent de 16 millions d'euros, risque en fin de compte de coûter beaucoup plus cher qu'il ne rapportera.

 

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Troupeau abattu

20 Décembre 2010 , Rédigé par jr Publié dans #Bovins

Drame de la misère agricole : 19 bêtes tuées  - Isigny-le-Buat
jeudi 02 décembre 2010

 

 

Lundi 22 novembre, un agriculteur du Mesnil-Boeufs a été hospitalisé d'urgence à Pontorson. « Il avait menacé de se suicider pendant l'enlèvement de ses vaches vers l'abattoir », raconte Érick Goupil, maire d'Isigny-le-Buat. L'homme était « en infraction par rapport aux normes sanitaires depuis plus de dix ans », explique Maurice Orvain, le maire honoraire de la commune.

Un dossier qui traîne depuis des années et que les maires tentent de régler. Bêtes amaigries, sans carte d'identification. La situation était difficile pour cet agriculteur en liquidation judiciaire. Depuis plusieurs années, ses bovins lui étaient enlevés progressivement pour être conduits vers l'abattoir. « Afin de payer les créanciers en valorisant les bêtes. »

Il y a un an, l'affaire s'est compliquée. L'agriculteur s'est enfermé dans sa marginalité et refusait le départ des animaux. Il y a quinze jours, alors qu'il était à l'hôpital, ses 19 bêtes ont été euthanasiées dans les champs par les services sanitaires. « Un taureau aurait chargé », rapporte Maurice Orvain, sceptique. Les voisins ont été choqués par les mesures radicales prises par les services. Certaines vaches auraient pu être valorisées, « même si beaucoup étaient vraiment trop maigres », avoue Érick Goupil. Au-delà de cette histoire d'abattage se cache un drame humain. « Il n'a pas su prendre les mains qui se tendaient. À l'avenir, il faut qu'il accepte de l'aide. Je serai le premier à lui en proposer. »

Troupeau abattu : la Confédération scandalisée  - Isigny-le-Buat

vendredi 17 décembre 2010


 

 

Dans un communiqué en date du 13 décembre, la Confédération paysanne se dit « profondément scandalisée par les méthodes employées par la Direction des services vétérinaires et le Groupement de défense sanitaire pour enlever le troupeau d'un éleveur en difficulté à Isigny-le-Buat ». Il est inadmissible, dit le communiqué, « de gâcher ainsi le capital de l'éleveur en abattant au fusil les bovins dont la vente aurait pu alléger les dettes de leur propriétaire. D'autres méthodes étaient possibles, par l'administration de calmants par fléchettes hypodermiques par exemple, ou en s'assurant le concours de l'éleveur ou de personnes compétentes pour approcher les animaux farouches ».

La Confédération paysanne en profite pour rappeler que « l'obligation de prophylaxie se résume à un dépistage de brucellose par prise de sang. Une sanction pour non-respect de cette obligation est certes justifiée, mais pas la saisie totale des bêtes ! Une retenue en consigne en attendant le résultat du dépistage aurait suffi ».

Quant à l'hospitalisation d'office subie par l'éleveur, elle paraît au syndicat « tout à fait abusive et inquiétante. Nous appelons les éleveurs en difficulté à ne pas rester seuls face à leurs problèmes et à contacter les associations qui peuvent les accompagner comme « SOS Agriculteurs en difficulté ».Frédéric Macqueron, directeur de la DDPP 50

"Isigny le Buat ? Ce n'était pas un carnage"
l’affaire avait fait du bruit dans le Landernau agricole. 19 animaux avaient été abattus, voici trois semaines, dans une ferme du canton d’Isigny le Buat. Un journal local titrant même sur “un carnage”. Frédéric Macqueron, directeur de la DDPP (ex DSV), veut clore cette affaire, qui pour lui n’est pas une; il veut mettre un point final à toute polémique.

Frédéric Macqueron, directeur DDPP, “nous étions là pour assurer la sécurité de l’enlèvement, à la demande de l’administrateur judiciaire”. - © ec

 

Bref rappel des faits. Le troupeau en question était en liquidation judiciaire depuis 2006. “Une décision prononcée, je le rappelle, par la justice” souligne Frédéric Macqueron. “Dans les faits, l’administrateur judiciaire était propriétaire des 26 bovins dans les trois parcelles concernées. Des animaux dangereux, non identifiés, mal soignés, mal nourris. Sur les 26, sept ont été capturées aussitôt, dont deux n’appartenaient pas au cheptel concerné. Sur ce premier lot, un seul était commercialisable à l’abattoir”. Frédéric Macqueron détache les mots nettement, “ces bovins ont été abattus par des professionnels du tir, sans souffrances animales, en clair dans des conditions largement équivalentes à celles d’un abattoir”.  Et de conclure, “je le maintiens, ces animaux représentaient un risque, non seulement lors de la journée d’enlèvement, mais aussi depuis des années au niveau sanitaire. Enfin, ils ne représentaient aucune source de revenu pour le propriétaire”.

 





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l'hiver 2009 et 2010

17 Décembre 2010 , Rédigé par jr Publié dans #actualité agricole

 

 

 

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