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jeux Farming Simulator ?

31 Octobre 2011 , Rédigé par jr Publié dans #humour

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les éleveurs veulent des prix

31 Octobre 2011 , Rédigé par jr Publié dans #Bovins

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Sortir les vaches l'hiver

27 Octobre 2011 , Rédigé par jr Publié dans #Santé Nutrition

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OABA

26 Octobre 2011 , Rédigé par jr Publié dans #Bovins

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Le GIE Export a donné un ballon d'oxygène aux éleveurs 

25 Octobre 2011 , Rédigé par jr Publié dans #Bovins


« En fin d'été, les abatteurs considéraient que la viande bovine était trop chère », déclare Gérard Doré, président de la section bovine de la FRSEA Bretagne. « Cette position nous a exaspéré, car nous devons faire face à des hausses de coûts qui n'ont pas encore été répercutées ». En jeune bovin, le coût de production se situe autour de 4 € du kg alors que le prix de vente avoisine 3,50 €/kg de carcasse. « Aujourd'hui, il manque au minimum 30 ct/kg pour rémunérer la main d'oeuvre ».


De 900 à 1 000 €/mois

En femelle de race à viande, l'écart entre prix de vente et coût de production serait également autour de 50 ct/kg soit près de 200 € par animal. « Le revenu d'un éleveur de vaches allaitantes est actuellement entre 900 et 1 000 € par mois, ce qui est nettement insuffisant compte tenu des capitaux engagés, du temps passé et des risques encourus », estime Claude Henry, président de la section bovine FDSEA 22. Le manque de rentabilité a stoppé les investissements chez les producteurs. Il a aussi découragé les jeunes de s'installer, depuis quelques années. Cet été, les industriels de la viande se sont inquiétés de voir la production s'organiser dans le cadre d'un GIE national, le GEF (groupement d'export français). Les abatteurs voient en effet d'un mauvais œil partir vers d'autres destinations (la Turquie, le Magreb...), des animaux qui passaient par leur chaîne d'abattage. La Turquie se sert du levier taxe pour attirer les courants commerciaux d'animaux vivants sur son territoire. En effet, elle taxe les carcasses à 75 % et les animaux vivants à 15 % seulement. Elle n'applique aucune taxe sur les animaux destinés à l'engraissement. Au port de Sète, les animaux vivants ont rapidement remplacé les carcasses qui partaient en camions frigos vers la Turquie. Ce qui a permis à ce pays de faire tourner ses outils d'engraissement et ses abattoirs.


Atteindre 4€/kg

« Le GIE Export a donné un ballon d'oxygène aux éleveurs », se félicitent les responsables syndicaux bretons, fiers de sa réussite, « malgré l'opposition de Coop de France et du SNIV ». « C'est un levier qui nous permet d'agir pour obtenir une augmentation des cours dans la région », souligne Gérard Doré. « Le prix de 2,40 €/kg en vif pour un bovin partant à l'export équivaut à 4 €/kg en carcasse. Or les abattoirs locaux rechignent à payer ce prix aux producteurs bretons, ils avancent à tous petits pas ». « En veaux de boucherie, la situation est également critique », selon les producteurs présents. La rémunération moyenne de 75 € par veau en intégration ne permet pas de dégager un revenu. Les banques refusent les projets d'installation ou d'agrandissement. « Si aucun effort n'est fait par les abatteurs, la filière veaux disparaîtra dans quelques années, par manque de renouvellement ». « Les abatteurs estiment qu'ils sont en surcapacité d'abattage », poursuit le président de la section bovine. « Ils doivent comprendre que, faute de prix rémunérateurs, la disparition d'une partie des éleveurs créera, à terme, une pénurie de matière première. Au contraire, une meilleure rémunération du maillon production redonnerait de la visibilité et des perspectives pour pérenniser la production bretonne et installer de nouveaux éleveurs ». Patrick Bégos

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Jean Amadou, une voix s'est éteinte

24 Octobre 2011 , Rédigé par jr Publié dans #personnages

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La betterave en pays de caux

24 Octobre 2011 , Rédigé par jr Publié dans #pays de caux

L'histoire de la betterave

Publié le samedi 28 mars 2009 à 01H00

Antoine Savalle et Claude Douyer et les fourches à deux dents

Antoine Savalle et Claude Douyer et les fourches à deux dents

 

 

 

L'écrivain Claude Douyer, retraité de l'INRA, s'est attelé à écrire l'histoire de la betterave sucrière l'année dernière. L'ouvrage vient de paraître.

 

 

La betterave, de Napoléon à aujourd'hui

Publié le vendredi 20 mai 2011 à 08H00

La production betteravière est retracée depuis son origine, en 1812

La production betteravière est retracée depuis son origine, en 1812            

 

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Hollande et Sarkozy

23 Octobre 2011 , Rédigé par jr Publié dans #Vie Politique

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deux études d'apparence contradictoires

21 Octobre 2011 , Rédigé par jr Publié dans #Environnement

François Veillerette, Président de Générations Futures, association de défense de l'environnement qui lutte contre les pesticides et les OGM. Il réagit à deux études d'apparence contradictoires, sur l'impact des pesticides sur les agriculteurs, et commente son dernier livre, co-écrit avec Marine Jobert, intitulé "Le Vrai Scandale des gaz de schiste" (éditions Les Liens qui Libèrent).

Les résultats de l’étude RnV3P qui viennent d’être publiés marquent-ils une étape importante dans la lutte contre les pesticides, en confirmant leurs impacts sur la santé des agriculteurs ?

Oui, ils sont importants et ils confirment ce que l’on sait déjà. De nombreuses études ont été publiées aux Etats-Unis et en Europe révélant que les agriculteurs avaient plus de risques de développer des cancers ou la maladie de Parkinson ou d’Alzheimer. Ce qui était étrange, c’était qu’il existait encore peu d’études en France à ce sujet, à part une étude bibliographique de l’InVS.

Que révèle exactement cette étude ?

Elle démontre que les agriculteurs utilisant des pesticides ont plus de risques de développer des tumeurs. Ces résultats portés par l’Anses confirment les études précédentes déjà publiées à l’étranger.

Quasiment au même moment, une autre étude baptisée AGRIGAN révèle au contraire la bonne santé des agriculteurs, comment l’expliquez-vous ?

Ce n’est pas une révélation. Les agriculteurs sont en meilleure santé parce qu’ils ont une hygiène de vie globalement meilleure que le reste de la population, et c’est bien sûr une bonne nouvelle. La question est de savoir s’il existe des facteurs de risques spécifiques chez les agriculteurs. Le problème avec cette étude, c’est que les résultats sont extrêmement partiels. Les résultats donnent des chiffres sur la mortalité par cancers mais par sur la morbidité, c’est-à-dire sur le nombre de cas.

Quels sont les agriculteurs les plus touchés par des problèmes de santé ?

L’étude AGRIGAN n’est pas représentative de la population des agriculteurs, avec par exemple seulement 48% d’entre eux qui utilisent des pesticides. De mémoire, seulement 16% des viticulteurs étudiés manipulent des pesticides, ce qui est très peu, alors que c’est une des cultures qui en utilisent le plus.

Au regard d’études internationales mais aussi d’une étude française réalisée dans la région de Bordeaux sur les travailleurs de la vigne, on sait par exemple que les viticulteurs sont plus touchés par la maladie de Parkinson et la maladie d’Alzheimer. Une étude canadienne a par ailleurs révélé, sur 10 ans de publications scientifiques mondiales, que 88% des études réalisées sur cette question confirmaient un lien entre l’utilisation des pesticides et les cancers.

En France, on n’étudie pas les populations d’agriculteurs les plus exposés aux pesticides, et on ne trouve donc pas grand chose. Par ailleurs, on ne s’intéresse qu’à la mortalité par cancers sans s’intéresser également au nombre de cas de cancers déclarés, ce qui minimise les chiffres. On a l’impression que l’objectif est de ne rien trouver.

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Dacian Ciolos répond

18 Octobre 2011 , Rédigé par jr Publié dans #Pac

Proposition Pac 2014/2020 - Dacian Ciolos répond aux critiques
( Publié le 18/10/2011 à 06h25 )
A Bruxelles, le commissaire européen à l'agriculture a rejeté les critiques formulées par plusieurs pays envers ses propositions de réforme de la politique agricole commune (Pac), assurant qu'à la fin "tout le monde va y gagner".

"Les propositions de réforme sont perfectibles, l'important est de maintenir l'esprit communautaire", a déclaré, le 17 octobre dernier, M. Ciolos lors d'une conférence de presse à Bucarest. "Il ne faut surtout pas transformer la Pac en un magasin où chacun achète uniquement ce qui l'intéresse", a-t-il souligné.

 

dacian ciolos réponses pac
Dacian Ciolos : "Mon objectif est d'avoir une politique agricole commune et non pas 27 politiques nationales" (© Terre-net Média)
Sa réforme propose de mettre les agriculteurs "au vert", en conditionnant une partie des aides au respect de l'environnement, et de rendre la Pac plus équitable en plafonnant notamment les subventions aux grandes exploitations.

 

Plusieurs pays dont l'Allemagne et le Royaume-Uni ont critiqué cette proposition, évoquant le risque d'un morcellement. "Le plafonnement des aides ne signifie pas que les grandes exploitations ne seront plus soutenues, mais que les fonds seront alloués de manière plus transparente", a assuré le commissaire. Dacian Ciolos a estimé que les pays ayant jusqu'ici bénéficié de subventions importantes ne devraient pas bouder le fait de devoir désormais partager le budget avec les nouveaux Etats membres, "qui n'étaient pas à la table au début".

"Il n'y aura pas de perdants dans cette réforme, et j'espère qu'à la fin tout le monde va y gagner: le secteur agricole dans son ensemble et le contribuable qui bénéficiera de produits de qualité et de bons prix", a souligné le commissaire. Il a également rejeté les critiques de certains des nouveaux membres, dont la Roumanie, qui déplorent que le rééquilibrage des aides soit plus lent que souhaité, évoquant les difficultés à trouver un compromis acceptable pour les 27.

"Un rééquilibrage plus rapide pourrait entraîner un refus global des propositions de la part de certains pays", a-t-il mis en garde. "Mon objectif est d'avoir une politique agricole commune et non pas 27 politiques nationales", a conclu le commissaire. Ses propositions seront soumises à l'approbation des députés européens et des Etats membres.

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