0,52 euro par litre en février
~~La production laitière chinoise en baisse
~~ Les très grandes fermes se développent mais n’arrivent pas à compenser l’hémorragie des petites. Les très grandes fermes se développent mais n’arrivent pas à compenser l’hémorragie des petites. - © P. Le Douarin Des éleveurs laitiers en difficulté. Selon les statistiques officielles chinoises, la production laitière nationale a baissé de près de 6 % en 2013, atteignant environ 35 millions de tonnes, soit l’équivalent de la production de 2007-2008. « En 2012, des conditions climatiques difficiles et la forte hausse des prix des intrants, ont mis en difficulté les petits élevages, indique Jean-Marc Chaumet, de l’Institut de l’élevage. À cela se sont ajoutées de nouvelles réglementations pénalisant la médiocre qualité du lait. Et le prix très élevé de la viande a favorisé la vente d’une partie ou de tout le cheptel des petites fermes. » Les très grandes fermes se développent, mais n’arrivent pas néanmoins à compenser l’hémorragie des petites. Avec une production de plus en plus déconnectée de la demande, le prix du lait est très élevé : 0,52 euro par litre en février. Commentaires Lien vers l'article Abonnez
maec polyculture elevage
~~Réforme de la PAC - La FRSEA et les JA du Limousin demandent un Plan bâtiment fort et une MAE dirigée sur la finition Abonnez-vous Réagir Imprimer Envoyer Dans le cadre d'une réunion entre la profession agricole et la Région Limousin, nouveau gestionnaire du second pilier de la PAC, Jeunes Agriculteurs et la FRSEA du Limousin ont demandé le respect des engagements pris pour une agriculture tournée vers la finition et l'installation des jeunes. Le nouveau programme de développement rural régional, mis en oeuvre dès 2015, encadrera les actions en faveur de l'agriculture limousine pour les 6 ans à venir. Pour atteindre nos objectifs, des mesures phares ont été proposées : un plan bâtiment et des aides à l'investissement significatifs et une MAEC1 tournée vers la finition des animaux. Encore faut-il que ces mesures soient accessibles pour les agriculteurs et qu'elles soient dotées à des niveaux suffisants ! Pour la phase transitoire 2014, les dispositions prises laissent entrevoir la possibilité d'engager des dossiers d'investissements dès ce printemps avec les mêmes règles que par le passé (ancien PMBE² et Projet Global). FRSEA et JA s'en félicitent et demandent que la Région instruise ces dossiers au fil de l'eau tout au long de l'année. Sur le futur dispositif de soutien, le syndicalisme majoritaire souhaite un outil financier unique et simple pour tous. Il doit s'adresser à tous les éleveurs et agriculteurs professionnels sans distinction et garantir l'atteinte d'un socle de base de modernisation des exploitations. Cette aide à l'investissement doit aussi inciter à la finition des animaux et accompagner l'installation. Une attention particulière doit être portée aux projets collectifs. Enfin, la modernisation des exploitations limousines passe également par des aides au stockage de l'eau, à l'abreuvement et aux travaux hydrauliques nécessaires pour améliorer l'autonomie alimentaire et limiter les risques en cas d'aléas climatiques. Dès le mois de septembre, JA Limousin a relevé le défi de proposer une MAEC Finition viandes en autonomie alimentaire dans les zones herbagères. Aujourd'hui, cette proposition s'inscrit dans le cadre de la MAEC Polyculture-Elevage. Fruit d'une volonté professionnelle et donc adaptée aux besoins du terrain, elle permettrait de maintenir des systèmes vertueux aujourd'hui menacés. Selon les JA et la FRSEA, cette MAEC Polyculture élevage doit être la priorité en Limousin et doit être dotée d'une enveloppe suffisante pour atteindre le seuil des 1 000 contractualisations. Pour y parvenir, la profession doit être entendue dans la définition des critères figurant dans le cahier des charges et qui seront définitivement retenus. Nous attendons de la Région une réponse raisonnable et sensée concernant les Indices de Fréquence des Traitements ; ceux-ci doivent être techniquement atteignables et ne pas entraver l'adhésion à la mesure. Parce que le dynamisme de notre agriculture passe par un renouvellement des générations, il est indispensable de soutenir l'installation des jeunes. Nous ne doutons pas du soutien de la région Limousin pour le maintien et la création d'outils adaptés aux porteurs de projets agricoles sur le territoire régional. La présence de la mesure d'instruments d'ingénierie financière en est la preuve. Pour autant, nous demandons à la Région d'aller plus loin, au plus près des besoins des porteurs de projets, en ne négligeant pas l'accompagnement de ces futurs chefs d'entreprise. Les seuls fonds FEADER3 ne pouvant répondre à cet objectif, il est primordial que les autres fonds puissent être mobilisés. Ces fonds, qui visent à renforcer la cohésion économique, sociale et agricole en corrigeant les déséquilibres régionaux, doivent être complémentaires et optimisés. Nous demandons d'ouvrir, sur le FSE4, l'accompagnement à la création d'entreprise au secteur agricole, avant et après l'installation et donc d'allouer sur cet axe stratégique les crédits suffisants. 1- Mesure agro-environnementale et climatique 2- Plan de modernisation des bâtiments d'élevage 3- Fond européen agricole pour le développement rural 4- Fond social européen
http://www.normandie.chambagri.fr/iso_album/1404-second-pilier.pdf
veaux colibacilles
http://gds19.e-monsite.com/medias/files/up-15-03-13.pdf
http://www.bretagne.synagri.com/ca1/PJ.nsf/TECHPJPARCLEF/08315/$File/Diarrhées%20du%20veau%20-%20Faire%20le%20point%20et%20agir.pdf?OpenElement
http://www.veausouslamere.com/img/upload/production/conseils/plaquette-diarrhees.pdf