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sante du troupeau

Publié depuis Overblog

1 Janvier 2017 , Rédigé par jr Publié dans #santé du troupeau

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Quatre-vingts vaches laitières mortes

31 Mai 2015 , Rédigé par jr Publié dans #santé du troupeau

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urée

3 Octobre 2014 , Rédigé par jr Publié dans #santé du troupeau

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le bien être pour tous!!!!!!

8 Février 2014 , Rédigé par jr Publié dans #santé du troupeau

L’accès au pâturage obligatoire

En bio, les animaux doivent avoir accès au pâturage en permanence lorsque les conditions climatiques le permettent.

Plusieurs études scientifiques mettent en évidence les multiples avantages de l’accès au pâturage pour la santé et le bien-être des vaches laitières. Interdire l’accès au pâturage a même été récemment cité par plusieurs auteurs et organisations scientifiques comme l’un des principaux risques pour le bien-être des vaches laitières (European Food Safety Authority, 2009b, Rushen, 2012)

Le pâturage présente de nombreux avantages pour la santé des vaches laitières et peut notamment être associé à la réduction des problèmes de mammites, cétoses, métrites, dystocies et rétention placentaires (cité dans le rapport de l’EFSA 2009a). 

De plus, le bien-être d’un animal ne se limite pas à sa santé et à son bien-être physique mais englobe également son bien-être psychologique et la possibilité d’exprimer les comportements importants propres à son espèce. Ceci correspond à la cinquième des Libertés utilisées dans la définition largement acceptée du bien-être animal par le Farm Animal Welfare Council (FAWC, 1993).

Les niveaux de stress des animaux apparaissent notamment moins élevés au pâturage qu’en stabulation libre, comme l’indique un rythme cardiaque des animaux plus lent et moins d’interactions agressives entre animaux (Irrang and Knierim, 2012).

Enfin, afin de juger de l’importance du pâturage pour les vaches laitières, plusieurs auteurs ont étudié les préférences des animaux en leur donnant la possibilité de choisir entre différents modes de logement. Il apparait que, lorsque le climat est favorable et les besoins nutritionnels des animaux satisfaits, les animaux préfèrent généralement le pâturage, et ce notamment la nuit (Krohn et al, 1992, Legrand et al, 2009, Charlton et al, 2011, Falk et al, 2012). 

En conventionnel : Il est vrai que les vaches laitières ont également généralement accès au pâturage en élevage conventionnel en France, mais cela n’est pas requis par la législation. L’agriculture biologique au contraire offre l’assurance que toutes les vaches laitières ont un accès minimal au pâturage. Il semble, de plus, que les vaches laitières en bio aient un accès plus long au pâturage.

L’alimentation

La ration doit contenir au minimum 60% de fourrages. La quantité maximale de concentrés autorisée est donc limitée à 40% de la ration journalière en matière sèche. Ce chiffre peut être ramené à 50% pour une période maximale de trois mois en début de lactation.

Un apport suffisant en fibres (par les fourrages) est nécessaire afin de prévenir des acidoses (résultant d’une fermentation excessive dans le rumen lorsque la ration est trop concentrée/riche en amidon) et de maintenir la santé ruminale des vaches.

Le cahier des charges bio précise une proportion minimale de fourrages dans la ration des vaches laitières, tandis qu’aucun seuil n’est précisé en élevage conventionnel. Nous reconnaissons qu’un grand nombre d’élevages conventionnels auront déjà pour pratique d’apporter une ration riche en fibres, avec une teneur en fourrages souvent supérieure à 60% comme vous le soulignez, mais certains élevages pourront néanmoins être bien en dessous de ce seuil compte tenu de l’absence de cadre règlementaire sur cet aspect. Pour ces derniers, les risques de problèmes métaboliques et notamment d’acidoses peuvent alors apparaitre (une forte teneur en concentrés ayant pour effet d’abaisser le pH du rumen et pouvant par conséquent provoquer une situation d’acidose)

La litière

La litière est obligatoire en bio : de 1 kg par jour et par vache avec caillebotis à 6 kg en stabulation libre.

Les caillebotis sont interdits sur l’aire de couchage (max 50% de caillebotis en bâtiment).

En élevage biologique, il y a l’assurance d’une quantité minimale de litière, important pour le confort des vaches laitières en bâtiment. La litière constitue également une source supplémentaire de fibres.

En conventionnel, aucune mention n’est faite de la quantité minimale de litière requise en élevage. De manière générale, une litière est fournie aux vaches laitières en élevage conventionnel mais le cahier des charges bio offre l’assurance que toutes les vaches laitières reçoivent une quantité de litière minimale.

La surface minimale par animal

Elle est selon le cahier des charges du bio de 6 m2/animal en bâtiment, 4,5 m2/animal en aire d’exercice extérieure et 2 UGB/ha SAU au pâturage.

Le cahier des charges biologique précise des surfaces minimales par animal tandis qu’ils n’y a pas de cadre règlementaire en conventionnel indiquant des surfaces minimales en élevage laitier (au contraire d’autres espèces animales). 

Attache

L'attache restreint les mouvements des animaux et empêche l'expression des comportements naturels. En cas de contraintes climatiques, géographiques ou structurelles, l’attache des bovins dans les exploitations de petite taille est autorisée, à condition que le cheptel bovin ait accès :

  • à des pâturages pendant la saison de pacage,
  • et à des espaces de plein air au moins deux fois par semaine, lorsque l’accès à des pâturages n’est pas possible.

Dans la plupart des cas, et sauf dérogation, il est interdit de maintenir les animaux attachés en bio. Chez Les 2 Vaches, nous nous engageons à ne jamais utiliser cette dérogation et donc aucune de nos vaches n'est attachée. 

Suivi de la santé du troupeau

En bio, le préventif est préféré au curatif. Par conséquent, les producteurs sont encouragés à mener des actions préventives et à observer leur troupeau afin de détecter des signaux d’alertes.

La prévention passe par l’observation des animaux, l’amélioration des conditions de logement et la connaissance des bonnes pratiques d’élevage.

Races de vaches et programme de sélection

L’utilisation de races rustiques est un point fondamental en termes de bien-être animal. Cela n’est cependant pas obligatoire en bio.

L’utilisation de la race Prim Holstein en élevage bio peut représenter un risque en termes de bien-être animal car celle-ci, sélectionnée pour une production élevée, n’est pas adaptée au régime alimentaire bio (moins riche en céréales et donc avec un apport énergétique plus faible qu’en conventionnel, ce qui peut se traduire par un état corporel insuffisant).

Le cahier des charges bio en France encourage l’usage de races rustiques de même que dans d’autres pays européens (ex : Soil Association, 2010), mieux adaptées à la conduite bio. Sur la base des connaissances actuelles des capacités d’adaptation de la vache laitière à différents environnements, il est suggéré que les éleveurs laitiers devraient utiliser des races robustes avec des objectifs de sélection larges incluant à la fois des traits de production et fonctionnels (Ahlman T., 2010, Pryce et al., 2004).

Cependant, la production laitière moyenne par vache laitière en bio est généralement plus faible qu’en conventionnel et on peut donc s’attendre à ce que la pression de sélection exercée sur les vaches laitières soit moins importante qu’en conventionnel.

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litière à base de compost,20 m2 par vache

2 Janvier 2014 , Rédigé par jr Publié dans #Santé du troupeau

Après avoir visité plusieurs fermes en Israël et en Corée, Marc comprend qu’un système de stabulation libre durable pourra l’aider à alléger sa charge de travail. Dans son bâtiment d'élevage à stalles libres, il crée un coin à compost afin d’enrichir son expérience dans ce nouveau type d’élevage. Les résultats sont plus que prometteurs. Dès lors, Marc décide de construire un tout nouveau bâtiment d’élevage sur litière à base de compost pour ses 175 vaches laitières. « Comme notre priorité est de maintenir la litière toujours bien sèche, nous avons besoin de 20 m2 par vache », explique Marc. Pour optimiser les conditions climatiques à l’intérieur du bâtiment d’élevage, Marc aménage un bâtiment de type serre. « Nous souhaitions gérer au mieux l’ambiance à l’intérieur de notre bâtiment d’élevage. C’est pourquoi nous avons installé un toit ouvert et éliminé les murs », précise Marc. « Au final, la solution la plus adaptée à nos besoins était l’aménagement d’un bâtiment de type «serre». » Si les défis ne manquent pas, ce n’est qu’avec le temps et l’expérience que Marc pourra se faire une idée précise sur la viabilité réelle du concept des bâtiments d’élevage à compost aux Pays-Bas.

Marc Havermans - Pays-Bas

http://www.lely.com/fr/temoignages/marc-havermans--pays-bas

http://www.plm-magazine.com/Video-Vache/Un-document.-La-vie-des-vaches-sur-compost.-13584

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Bien gérer les mammites cliniques en lactation

23 Novembre 2013 , Rédigé par jr Publié dans #santé du troupeau

Les mammites cliniques en lactation, qui marquent pourtant une forme d’échec de  la prévention, demeurent une réalité dans les élevages. Si généralement, un objectif de moins de 30% de mammites par an (16 traitements pour un troupeau de 50 vaches) est considéré comme raisonnable, les pertes économiques qu’elles occasionnent ne doivent pas être sous-estimées. Vigilance et réflexion, tels sont les maîtres mots d’une bonne gestion de ce problème.

 


Seule une analyse précise des données d'élevage permet de définir une stratégie de lutte

En face d'une mammite clinique, quel traitement choisir ?


La première certitude, c'est que le traitement doit être efficace contre les bactéries responsables de la mammite. Ce qui signifie que le ou les produits utilisés doivent être actifs rapidement et pendant suffisamment longtemps pour assurer une guérison bactériologique (la destruction complète du germe).

 

Malheureusement, il n'existe pas de méthodes simples et générales pour identifier rapidement le germe responsable d'une mammite, sur la simple observation des symptômes de l'animal. Chaque élevage est un cas particulier et toutes les données disponibles doivent être prises en compte pour élaborer une stratégie de lutte adaptée : guérison des mammites antérieures, résultats des traitements au tarissement, évolution des comptages cellulaires, etc. Ce diagnostic permet d'émettre une suspicion bactériologique, qui demande quelquefois à être complétée par des analyses de laboratoire.

 

Il est alors possible d'établir un protocole de traitement par voie intra-mammaire, associé ou non à un traitement par voie injectable.

 

En pratique, l'ordonnance de votre vétérinaire est un outil précieux. Il pourra également élaborer chaque année avec vous un référentiel de traitement personnalisé, adapté à votre situation d'élevage. Ce document vous permettra par la suite de faire les bons choix de protocoles contre les mammites que vous observerez et tiendra aussi compte des pathologies récidivantes qui nécessitent des traitements de deuxième intention.


Evolution des chances de guérison d'une mammite en lactation

Quel est le meilleur moment pour commencer à traiter une mammite ?


Le traitement doit débuter le plus rapidement possible ! Reporter son intervention de 12 heures revient à amputer de 20% les chances de guérison du quartier (vois schéma ci-contre).

L'importance de la détection des mammites est donc capitale. Toute modification de l'aspect du lait, même très discrète, est le signe d'une mammite clinique. Observer la mamelle en début de traite (gonflement, rougeur, chaleur...), recueillir et examiner les premiers jets à la lumière dans un bol à fond noir,  palper la mamelle en fin de traite, constituent autant de gestes indispensables.


 

Est-il possible d'écourter le traitement si les symptômes disparaissent rapidement ?


Même si les symptômes disparaissent très vite (la guérison clinique), le traitement doit obligatoirement être suivi jusqu'à son terme ! Les référentiels de traitements et les ordonnances de votre vétérinaires sont là pour vous y aider.

En effet, obtenir une guérison clinique ne signifie pas que les bactéries ont été complètement détruites (la guérison bactériologique). Permettre aux plus résistantes de persister dans la mamelle, c'est s'exposer aux risques de récidive ou d'installation d'une mammite sub-clinique, à l'origine de nouvelles contaminations en cours de traite. C'est aussi favoriser l'apparition de résistances aux antibiotiques, susceptibles de rendre inefficaces les traitements ultérieurs.

 


Le CMT peut-être utilisé pour évaluer la guérison d'une mammite

Comment correctement évaluer la réussite d'un traitement ?

 

L'évaluation d'un traitement s'effectue en trois temps :

  • Une amélioration des symptômes doit être constatée au plus tard 48 heures après le début du traitement: c'est le signe que la bactérie est sensible à l'antibiotique utilisé. Si ce n'est pas le cas, le protocole choisi n'est pas le bon; il doit être entièrement revu.
  • La guérison clinique ne se juge qu'au 5ème jour après la mise en place du traitement. Sans guérison clinique à J+5, il est nécessaire d'adapter le traitement (prolongation avec un produit de la même famille, association d'un traitement injectable). Consultez votre vétérinaire.
  • La guérison bactériologique sera confirmée plus tard, en contrôlant les comptages cellulaires individuels, mais en cas d'installation d'une mammite sub-clinique ils peuvent être très fluctuants et plusieurs prélèvements sont nécessaires pour garantir cette guérison.

 

Pour plus de certitude, il est possible de réaliser une analyse bactériologique (au laboratoire) ou d'utiliser un California Mastitis Test (CMT-leucocytest) ou d'amener du lait à la clinique pour un comptage (DCC), plus de 20 jours après le traitement. Ce dernier, d'utilisation facile, n'est toutefois pas si simple à interpréter pour des comptages inférieurs à 1 million de cellules. Il vous permettra, s'il est positif, de suspecter la non-guérison. S'il est négatif, gardez-vous de conclure trop vite à la guérison !


Evaluation de l'efficacité du traitement d'une mammite en lactation

 

Comment réagir en cas de récidive ?

 

Il y a récidive si une mammite touche le même quartier dans un délai de 3 semaines. Au delà , il est délicat de distinguer une récidive d'une nouvelle contamination. En revanche, dans tous les cas, l'infection d'un autre quartier est considérée comme une nouvelle mammite !

Face à une récidive, le protocole de traitement doit être adapté (prolongation, association d'un traitement injectable...). Là aussi, l'avis de votre vétérinaire sera précieux.

En cas de mammite multi-récidivante, la présence de bactéries adhérentes ou enkystées est probable. Ce sont des germes peu sensibles aux traitements, qui représentent une source de contamination sérieuse. Si vous avez respecté les protocoles de traitement, après deux échecs, il est raisonnable de réformer (stériliser) le quartier atteint ou l'animal.

 


 

En matière de gestion des mammites cliniques, le rôle de votre vétérinaire va donc bien au-delà de la seule délivrance des seringues intramammaires. L'établissement de protocoles de soins parfaitement adaptés à votre situation, la mise en place d'un référentiel de traitements dans votre élevage, le conseil qu'il saura vous apporter en cas d'échec ou de récidive, sont autant d'atouts pour éviter des pertes économiques et des gaspillages (surconsommation d'antibiotiques) souvent sous-évalués, mais rarement insignifiants.

 


 

       
         

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    Garantie BVD NON IPI pour les éleveurs vendeurs

    26 Mai 2013 , Rédigé par jr Publié dans #Santé du troupeau

    Obtenir en 8 jours le statut BVD d'un veau né sur l'élevage, est désormais possible grâce au prélèvement auriculaire. Une technique simple, faite par l'éleveur lui même pour valoriser la vente. Le moyen de garantir à vie un statut non IPI. L'EARL Danet-Thomas à Guehenno (56) l'a adopté.
    Maryse et Gilles Thomas ont adopté cette technique de qualification non IPI des petites génisses

    Maryse et Gilles Thomas ont adopté cette technique de qualification non IPI des petites génisses - ©claire le clève

    «C'est simple, c'est rapide et je peux très bien le faire moi même», résume Maryse Thomas détaillant la manipulation sur une petite génisse noire. La période est au vêlage. Et la recherche d'efficacité a fait opter ce couple d'éleveurs de 50 vaches laitières pour ce principe de prélèvement auriculaire. 7 boutons ont déjà été posés sur leurs veaux femelles. Car cette technique de test sur tissus (TST), validée par les GDS de Bretagne, a été récompensée lors du dernier Space par un Innovspace (voir encadré). Comme 80 % du cheptel breton, les vaches laitières de l'EARL Danet-Thomas sont indemnes de la maladie des muqueuses BVD. Et s'ils tiennent bien à ce qu'elles le restent, ils souhaitent que les acheteurs de la suite, le sachent également.

     

    Simplicité

    « Cette qualification non IPI est un avantage, et lors de la vente de nos petits veaux, pouvoir les garantir rapidement auprès de l'acheteur, en est un autre. Cela bénéficie à l'acquéreur comme au vendeur », poursuit l'exploitante. Alors, quand leur conseiller d'élevage GDS , Michel Gavaud, leur a parlés de ce nouveau test, les époux Thomas l'ont essayé, et adopté d'emblée, pour sa simplicité. « Quand le veau naît, il est déclaré. Les éleveurs reçoivent alors un bouton de prélèvement porteur du même numéro d'identification que les boucles. La pose se fait en même temps, sur l'oreille droite et le prélèvement est envoyé, le jour même sous enveloppe, au laboratoire », détaille le technicien.

     

    Rapidité

    Sous 8 jours, le statut BVD de l'animal est connu. «Et l'acheteur, sûr de ce qu'il achète, car la BVD arrive soit par l'achat, soit avec le voisinage», rappelle leur conseiller d'élevage GDS. «Et si on doit acheter des petites génisses, du coup on sera attentifs à ce qu'elles soient garanties avant la vente », enchaînent les époux Thomas pour qui, il n'est pas rare d'acheter de jeunes bêtes revendues amouillantes, «Avant, il y avait toujours le risque d’amener la BVD avec elles ». Un risque désormais écarté par un procédé dont le coût, variable par département, est en partie pris en charge par les GDS. « C'est de tout manière bien moins élevé que la prise de sang et l'intervention du véto et puis, il n'y a plus a bloquer les animaux », apprécient Marie et Gilles Thomas. «Et si on veut vendre nos génisses à 15 jours, nous avons tout les papiers, y compris la garantie non IPI». Un valeur sanitaire qui donne une valeur supplémentaire à l'animal tout en évitant le préjudice d'une annulation de contrat de vente et celui de négociations avortées...

    Claire Le Clève

     

     
    Le bouton est posé sur l'oreille droite avec une pince qui recueille le prélèvement auriculaire.

    Le bouton est posé sur l'oreille droite avec une pince qui recueille le prélèvement auriculaire. - ©claire le cleve

    Vous avez dit non IPI ?

    Lancé en 2000 par les GDS de Bretagne, le plan de maîtrise collective de la BVD était basé sur la détection et l'élimination des Infectés Permanents Immunotolérants dits IPI. Un système très efficace qui a bien fonctionné, l'analyse sanguine des animaux permettant de les caractériser. Mais les ventes rapides de petites génisses ou de broutards, représentaient le maillon faible du dispositif, favorisant l'introduction de la maladie. Testé en 2010 dans 62élevages bretons, la méthode a prouvé son efficacité et été reconnue par l'Association de certification de la santé animale. Avec son innovspace, la méthode éprouvée est proposée à tous les éleveurs bretons qui veulent certifier leurs jeunes animaux (petites génisses laitières ou broutards). Une méthode que d'autres régions
    françaises sont en train d'adopter.

     

    http://www.gds38.asso.fr/web/gds.nsf/0/932d48caadb148b9c1256bff006857f7/$FILE/CCBVD01A.PDF   

     

    À partir de ce modèle, il a été simulé le délai de détection de la circulation du virus de la BVD en nombre de jours après son introduction dans un troupeau laitier (600 simulations). Dans cet exemple, le premier test Elisa sur lait de tank est réalisé 10 jours après l’introduction d’une génisse non-IPI gestante d’un fœtus IPI (vêlage 20 jours après l’introduction). Dans 330 simulations sur 600, l’infection n’est pas détectée, ce qui est essentiellement dû à une très faible et courte épidémie dans le troupeau. Parmi les autres simulations, l’infection est détectée au bout de 6 mois dans 45 % des cas, mais il peut arriver, dans de rares situations, qu’elle ne le soit qu’au bout de deux ans, voire plus, et après la fin de la circulation active du virus.

    http://www.cairn.info/revue-natures-sciences-societes-2010-1-page-3.htm   

     

    Si les mres ont d.j. des anticorps

     

    (s.ropositives) c'est qu'elles ont d.j.

     

    .t. infect.es et la vaccination ne leur

     

    apporte rien de plus. http://www.gds18.org/BVD/fichierspdf/BVDV_BVDG.pdf

     

     

     

     

     

     

     

     

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    Que se passe t-il donc dans la panse ?

    15 Septembre 2012 , Rédigé par jr Publié dans #santé du troupeau

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    La danse des vaches

    19 Juin 2012 , Rédigé par jr Publié dans #santé du troupeau

    CIWF en bref
    Créée en 1967, CIWF est aujourd’hui reconnue comme l’ONG internationale de référence dédiée au bien-être des animaux d’élevage. Présente en France depuis 2009, CIWF a pour mission d’encourager les pratiques d’élevage respectueuses du bien-être des animaux de rente et de proposer des alternatives à l’élevage intensif viables et durables. Sa valorisation des bonnes pratiques et des démarches de progrès dans l’agroalimentaire lui permet de développer des partenariats constructifs dans ce secteur.
    Pour plus d’informations : www.ciwf.fr et www.agrociwf.fr   
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    Joseph DABEUX

    22 Janvier 2012 , Rédigé par jr Publié dans #santé du troupeau

     

     

     

     la méthode OBSALIM.

     

     

     

    Afin d’affiner ses techniques d’élevage, l’éleveur peut

     

    utiliser l’observation du cheptel comme outil de

     

    détection des déséquilibres et de réorientation de ses

     

    pratiques (méthode OBSALIM).

     

     

    http://www.opaba.org/bioenalsace/wp-content/uploads/2011/07/Trousse-homeopathique-OPABA-MAJ-Oct-09-NOUVEAU.pdf

     

    http://christine-delbove.suite101.fr/homeopathie-veterinaire-a719

     

    http://espritdelaterre.free.fr/IMG/pdf/ctma_bovins_fev_09.pdf

     

     

    Joseph DABEUX
    Dr Vétérinaire, homéopathe.
    Belgique.
    Se consacre intégralement au GIE Zone Verte après des années de clientèle libérale.

    Enseignant au Centre Liégeois d'Homéopathie

     

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