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fnsea

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flexibilité des aides ??????????

16 Janvier 2013 , Rédigé par jr Publié dans #FNSEA

à 6 heure il se léve pour quoi faire ????
baguette à 10€ ????   
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la FNSEA contre la surprime des 50 premiers ha ??????

5 Janvier 2013 , Rédigé par jr Publié dans #FNSEA

http://www.economiematin.fr/les-experts/item/2916-politique-agricole-commune-europe-reforme

 

 

lettre ouverte de Xavier Beulin au ministre de l'Agriculture

 

 

" instiller de profondes réformes dans la distribution des soutiens du premier pilier ne correspond pas à la phase de l'agenda"

 

 

 Pac : primer les premiers hectares

 

 

Pac : primer les premiers hectares

Afin d’éviter de pénaliser l’élevage intensif, Stéphane Le Foll propose de primer les premiers hectares de productions fragiles.

“On a besoin de rediscuter des filets de sécurité”, a déclaré le ministre français de l’Agriculture français, Stéphane Le Foll, lors de son audition à la commission des affaires européennes de l’Assemblée nationale, le 17 octobre. Le ministre avouait à cette occasion rencontrer des difficultés pour rediscuter de la régulation des marchés pour la Pac d’après 2013. Un sujet qu’il a soumis le 22 octobre à Luxembourg, lors d’un conseil européen des ministres de l’Agriculture. Il y a défendu aussi sa vision de la convergence des droits à paiement unique (DPU) au niveau européen et en France. La future Pac, vue par la France, se voudra “plus riche en emplois, plus verte et plus juste”, a-t-on assuré au ministère

 

 

http://www.pleinchamp.com/aides-primes/actualites/pac-primer-les-premiers-hectares

 

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Agricultorportrait Xavier Beulin. Patron d’une PME leader dans l’oléoprotagineux, le nouveau président de la FNSEA ne croit qu’en l’industriel.

19 Mai 2011 , Rédigé par jr Publié dans #FNSEA

Premier contact, au siège de la FNSEA, perdu dans une rue sans âme de l’ouest parisien. Quelque chose cloche. Les mains, lisses et soignées, offrent une poignée retenue, plus proche d’une pince de col blanc que des battoirs d’un gars du terroir. Coupe gominée, costume impeccable sur carrure trapue, grosse chaîne en or, Breitling, chaussures fines et cirées : Xavier Beulin, le nouveau président du syndicat qui chuchote à l’oreille des ministres de l’Agriculture, a la rutilance d’un homme d’affaires. Pardon, d’un «entrepreneur». On apprendra plus tard qu’il juge le premier terme trop connoté perso, alors qu’il revendique le second, au nom de la «réussite collective».

D’entrée, on est pris dans un tourbillon technico-politique. PAC, OMC, G20, flambée des cours des céréales… Xavier Beulin maîtrise «assez bien ses dossiers». Fausse modestie. La voix est enveloppante, sans une pointe d’accent. Ici ou là, un «bon» prononcé «boan» ou un «ah ben» ponctuent un phrasé policé, une langue de bois qu’on voudrait tailler en copeaux, si seulement le ton n’était pas si charmeur.

Ce charisme onctueux l’a aidé à gravir les échelons syndicaux, à cumuler les mandats. Une bonne douzaine l’an dernier, jusqu’à la présidence du port de commerce de La Rochelle. Il a promis de tout lâcher, sauf le Conseil économique, social et environnemental de la région Centre et Sofiprotéol, qu’il dirige depuis dix ans. Sofiprotéol ? Une PME qui sent bon la profiterole ? Pas vraiment. Sofiprotéol est le bras armé industriel et financier de la filière oléoprotagineuse : «Au début des années 80, on nous avait condamnés, nous les producteurs de colza et de tournesol. Pour survivre, on a investi dans des usines.» Résultat, plus de cinq milliards d’euros à la pesée. Sofiprotéol, c’est de l’huile pour vous et moi (Lesieur, Puget, Isio), des tourteaux pour le bétail (Glon Sanders, numéro 1 français de l’alimentation animale). Et un torrent de carburant (Diester Industrie, champion européen du biodiesel), qui a valu à Beulin un surnom, «l’émir vert», et une réputation de Caterpillar de l’agriculture. Xavier Beulin en est persuadé, Sofiprotéol, c’est le modèle à suivre. Pour lui, l’agriculture sera industrielle ou ne sera pas.

Elu en décembre face à un éleveur au parler rocailleux (36 voix contre, 31), l’émir, qui officiait jusqu’ici comme «monsieur international» de la FNSEA, entend incarner une agriculture tricolore conquérante. Dans son viseur, la rive sud de la Méditerranée. Suivez, là encore, l’exemple de Sofiprotéol. Le groupe lorgne le Maroc et l’Algérie, après avoir investi la Tunisie, où Beulin possède un «petit pied-à-terre» (pour sa seconde femme et leurs quatre enfants à eux deux, lui ne connaît pas le mot vacances). Néocolonialisme ? «Coresponsabilité et codéveloppement. Ces pays attendent énormément de la France.»

Quand Beulin prononce le mot France, des drapeaux flottent au vent et c’est le 18 Juin dans ses yeux. On le compare à Napoléon. Il se réclame de De Gaulle. Sans aller jusqu’à se dire de droite - la présidentielle approchant, «il y a des gens bien partout» -, même si la FNSEA a toujours penché de ce côté-là.Sortez vos mouchoirs : «J’ai mal à la France. Notre agriculture décline. On est passés numéro trois européen derrière l’Allemagne et les Pays-Bas. Je veux me battre pour inverser cette tendance !»

Xavier Beulin est de la race des pugnaces, de ceux plongés trop tôt dans le bain des décisions à prendre. Enfance «plutôt heureuse». Famille «modeste», parents paysans, tous deux du val de Loire. 50 hectares dans le Loiret, au nord d’Orléans, «pas dans la Beauce». Et puis un jour, la vie qui déraille. Décès brutal du père, un soir d’octobre 1976. Xavier Beulin a 17 ans. A 3 heures du matin, la décision est prise : aîné de quatre, il sera chef de famille. Arrêt net du lycée. «Reprendre l’exploitation, c’était pas un choix, après ça l’est devenu. C’est la vie qui vous impose ça.» Trois ans plus tard, «on vient le chercher» pour participer aux activités des Jeunes agriculteurs. Son université. «Sans eux, je ne serais pas là.»

Dans son bureau qu’il trouve «horrible» - à juste titre -, des bouquins à caractère agricole et religieux, une statuette équestre. Vestiges de ses prédécesseurs. Xavier Beulin n’y a pas touché. Pas le temps. Ses seuls effets ici : ordinateur portable, Blackberry et casque de moto. Passion qui lui a coûté une épaule, un accident récent.

On a du mal à l’imaginer dans un champ. On le lui dit. Jusqu’ici avachi, il se redresse : «Le week-end dernier, j’ai fait dix-sept heures de tracteur ! Un plaisir, je m’arrête même pas le midi. Et quand je vais à l’étranger, la première chose que je fais, c’est sentir la terre.» Deux week-ends par mois, il rejoint son exploitation. Qui a pris du ventre. 500 hectares de blé, orge, colza, tournesol, maïs et pois protéagineux, cultivés avec son frère et deux cousins. Plus 20 vaches et des asperges. Depuis son fauteuil parisien, l’homme multiplie les gages de ruralité, tire ses racines du sol et vous les envoie dans les dents, tout sourire. «Vous savez comment ça pousse, les asperges ?» Euh… «Elles prennent 5 à 7 centimètres par jour. Pour qu’elles soient blanches, il faut les lever avant qu’elles ne sortent de terre. Avec une gouge, d’un coup sec.» Il se souvient des joies de la récolte des haricots, gamin, au mois d’août. «On se faisait des cabanes sous les claies.» Ambiance petit bal perdu de Bourvil.

Sous les apprêts du costard, Beulin est donc un agriculteur, un vrai, né les deux pieds plantés dans la terre. Il est mort, le sol, il ne produit plus que sous perfusion, alarment des agronomes. Une fuite en avant, dopée à la pétrochimie, dont les agriculteurs sont les premières victimes. «Des clichés !», balaie-t-il. La voix est posée, mais il triture un bouchon de Perrier. Il sert un discours lénifiant, orné de formules du style «produire plus et produire mieux». Il s’agace. «Ne soyez pas en extase devant le bio non plus. Je veux bien être gentil mais quand même. Dans ce pays, une famille avec trois gamins qui ramène 1 500 euros par mois, elle peut pas se nourrir avec du bio, je regrette.» Oui, mais du bio local, sans marketing ? «Non !» Il tape - doucement - du poing sur la table. Bout, aimerait taper plus fort. «Non, mais ça veut dire quoi ? Que le paysan, la binette à la main, produit au même prix que l’agriculture conventionnelle ? Vous rêvez ou quoi ?» Et de railler le «sport à la mode» consistant, le dimanche, à «sortir sa bagnole, faire 25 km pour chercher trois salades et deux poireaux à la ferme. Le bilan carbone est archinégatif». Et puis, à une question sur les OGM, comme pour lever à la gouge et d’un coup sec l’asperge bio qui pousse en vous : «Je vais vous choquer, mais j’ai la conviction que les biotechnologies, c’est l’avenir de l’agriculture biologique.» Une certaine idée de la FNSEA. Décomplexée.

 

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il en sait des choses !

15 Avril 2011 , Rédigé par jr Publié dans #FNSEA

 

 

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je crois que vous avez même une maison et des terres au Maroc

6 Février 2011 , Rédigé par jr Publié dans #FNSEA

Hedwige Chevrillon : Vous êtes un entrepreneur agriculteur, c'est un peu un nouveau visage à la tête de la FNSEA, après Jean-Michel Lemétayer. Vous connaissez extrêmement bien le Maghreb, je crois que vous avez même une maison et des terres au Maroc. Lorsque vous voyez ce qui se passe en Algérie, ce qui se passe en Tunisie, avec une révolte sociale qui puise ses sources dans la flambée des prix alimentaires, est-ce que ca vous inquiète ?

Xavier Beulin: Oui, d'abord une rectification, je n'ai pas de terres au Maroc ou en Tunisie ni ailleurs, mais ce qui m'inquiète c'est effectivement la situation dans ces pays-là. Cela montre d'ailleurs que lorsque nous nous intéressons à ces pays en termes de co-développement, lorsque nous cherchons aussi à développer les politiques contractuelles avec ces pays pour satisfaire une partie, mais déjà un partie récurrente de leurs besoins en matière de céréales notamment, on a raison de le faire. Ce sont pour nous des territoires de proximité donc il faut continuer dans ce sens là. Pour autant la situation est critique en ce moment.

Est-ce que vous ressentez cette flambée des prix alimentaires ? Comment l'expliquez-vous ?

D'abord on a une mauvaise récolte sur une grande partie du monde et notamment la Russie et l'Ukraine cet été, alors que nous avions des niveaux de stocks très importants à la fin de la campagne dernière. S'ajoutent à cela des conditions climatiques dans l'hémisphère sud qui ne sont pas très réjouissantes, l'Australie est sous les eaux, on a la Nina en Amérique Latine, donc des prévisions sur la récolte de l'hémisphère sud qui va démarrer dans quelques semaines qui sont plutôt prévues à la baisse. Donc tout ça provoque de la tension sur les marchés. S'ajoute à cela désormais un effet de spéculation financière sur les matières premières agricoles, et tout cet effet fait monter les prix.

Est-ce que vous avez le sentiment que cette spéculation financière est largement à l'origine de cette flambée des prix alimentaires, comme on a pu l'observer sur le pétrole il y a quelques années ?

Je crois qu'il faut être prudent sur les analyses. Ce que nous constatons c'est qu'il y a un effet d'accentuation, notamment sur la volatilité des prix. On a des marchés physiques qui sont tendus, on a des investisseurs financiers qui profitent au fond de l'aubaine pour investir à court terme sur ces marchés des matières premières alimentaires, c'est d'ailleurs une des raisons pour lesquelles nous attendons du Président de la République dans le cadre de la présidence du G20, qui veut faire de cette question de la régulation des matières premières un enjeu majeur, des réponses adaptées à la situation, notamment s'agissant de l'alimentation.

Ce matin le Ministre de l'Agriculture Bruno Lemaire aurait dit qu'il fallait peut-être arrêter les exportations de céréales en France, lorsqu'on voit ce qui se passe. Il est revenu un peu sur ce propos. Cela dit est-ce que la question se pose à vos yeux ?

Non pas aujourd'hui puisque la France et l'Europe étaient bien couvertes, nous avons des niveaux de stocks suffisants et satisfaisants pour nos propres besoins français et européens, et pour engager un certain nombre d'exportations, sur lesquelles nous avons déjà des contrats de signés avec les pays de la Méditerranée en particulier

 

http://ferme-de-moscou.over-blog.net/ext/http://www.leaders.com.tn/article/xavier-beulin-ce-citoyen-de-gammarth-nouveau-president-de-la-puissante-fnsea-en-france?id=3513

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FNSEA depuis 2 ans

4 Janvier 2011 , Rédigé par jr Publié dans #FNSEA

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protéger les exploitations agricoles à taille familiale liées au territoire.

29 Décembre 2010 , Rédigé par jr Publié dans #FNSEA

Dominique Barrau reste fidèle à ses convictions

 




Dominique Barrau reste fidèle à ses convictions
Mardi, c'était la première apparition de Dominique Barrau en Aveyron après sa défaite à l'élection de la présidence de la FNSEA, remportée par Xavier Beulin. Ne se cachant pas derrière sa déception, il n'a pas pour autant affiché un visage abattu. Mais plutôt déterminé.   « Je savais à quoi je m'exposais. Mais à aucun moment je n'ai imaginé quitter le bateau. » Saluant ceux qui l'ont soutenu dans le département, tout en   « respectant le secret des urnes », il a toutefois regretté que la strate régionale ne l'ait pas plus épaulé.   « On paye encore la manifestation de Clermont-Ferrand, qui a mobilisé les agriculteurs du Massif Central », explique Dominique Fayel. Dominique Barrau a tenu cependant à souligner

qu'il n'était pas démobilisé, prêt à renouveler le combat pour la défense des zones de montagnes et fidèle à sa volonté de protéger les exploitations agricoles à taille familiale liées au territoire.   « Je crois en cela. Pas question de sombrer dans un schéma unique d'exploitation. » Il compte sur les trois mois qui viennent, avant le congrès de Saint-Malo, pour caler tout cela.  

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