Hybrid Air
2008 Hybrid Air : la révolution Peugeot à 2l/100
Le Point.fr - Publié le - Modifié le AVANT-PREMIÈRE. La technologie Hybrid Air que PSA va utiliser sur sa future voiture 2 l/100 km fonctionne, nous l'avons essayée sur une 2008 déjà à 3 l/1...
la mort de 58 de ses brebis après une attaque de loups
http://www.nicematin.com/menton/des-brebis-mortes-deposees-sur-un-chalet-daccueil-du-parc-du-mercantour.1791746.html
Le gouvernement doit garantir la "coexistence" entre loups et éleveurs
Archives AFP Le gouvernement ne doit pas seulement faciliter les tirs sur les loups, il doit aussi permettre la "coexistence" entre le canidé, protégé au niveau européen, et les éleveurs, ont ...
Vallouise: Ségolène Royal veut contrer la progression du loup
Ségolène Royal, ministre de l'Ecologie, est en visite ce samedi après-midi à Vallouise, dans le nord des Hautes-Alpes, où elle vient d'inaugurer la Maison du Parc des Écrins. La ministre a pr...
Supporting Better Dairy
http://www.happycows.eu/documents/EU_Directive_FR.pdf
à moins de 200 mètres des écoles
http://www.franceinfo.fr/vie-quotidienne/environnement/article/vignes-et-ecoles-une-cohabitation-difficile-493693
~~Selon les premiers éléments de l’enquête les viticulteurs en cause dans l’intoxication des enfants à Villeneuve-de-Blaye auraient épandu leurs produits alors que le vent soufflait à plus de 19 km/h. Or c’est interdit
~~http://www.francebleu.fr/infos/viticulture/la-vigne-qui-jouxte-l-ecole-pomerol-en-gironde-pas-un-souci-pour-les-parents-d-eleves-1542557
~~Le Foll défend le projet d'interdiction d'épandage de pesticides Publié le 19.06.2014, 18h26 Envoyer Réagir Agrandir le texte Diminuer le texte Imprimer l'article Tout leParisien.fr sur votre mobile Le ministre de l'Agriculture, Stéphane Le Foll, a défendu jeudi le projet d'interdiction des épandages de pesticides à moins de 200 mètres de certains lieux publics tout en cherchant à rassurer les agriculteurs sur sa portée. "Il s'agit d'avoir des mesures pour protéger des lieux publics, en particulier des écoles, des hôpitaux voire des maisons de retraite, et ça restera cet objectif-là", a déclaré M. Le Foll au micro d'Europe 1. "Jamais il n'a été question d'interdire à 200 m de toutes les habitations", a-t-il précisé pour apaiser les craintes de certains agriculteurs et mettre fin à d'éventuelles mauvaises interprétations. Le gouvernement proposera un amendement sur la question la semaine prochaine, lors de l'examen de la loi d'avenir pour l'agriculture en commission, a indiqué le ministère de l'Agriculture dans un communiqué en fin de journée. Parmi les mesures de protection envisagées figurent l'utilisation de haies, de buses anti-dérives (pour éviter la dispersion des produits), ou la fixation de dates et horaires d'utilisation des produits. "En l'absence de mesure de protection adaptée, une distance minimale d'utilisation sera à respecter", précise le communiqué. Le projet de loi sera examiné en 2e lecture à l'Assemblée nationale les 7 et 8 juillet. La FNSEA, premier syndicat agricole, appelle à une mobilisation nationale le 24 juin pour mettre un "carton jaune" au gouvernement, accusé de multiplier les "contraintes" envers les agriculteurs. Mercredi, le secrétaire général de la FNSEA Dominique Barrot avait estimé que ce projet d'interdiction des épandages ferait perdre la moitié des terres cultivables dans certains départements. Début mai, une vingtaine d'enfants et une enseignante d'une école primaire de Gironde avaient été pris de malaises après l'épandage d'un fongicide sur des vignes situées à proximité de l'établissement. La ministre de l'Environnement Ségolène Royal avait annoncé fin mai qu'elle présenterait "très prochainement", avec son collègue de l'Agriculture, une interdiction des épandages de produits phytosanitaires à moins de 200 mètres des écoles
« En 2030, 50 % des installations seraient robotisées. »
~~Robot de traite mobile. En direct du champ 6 juin 2014 à 09h01 / Gwénaëlle Le Ny / Ferme de Trévarez. Le robot de traite mobile à l'essai. Le reportage de Gwenaëlle Le Ny. Plus d'infos sur www.letelegramme.fr Depuis le 13 mai, 54 vaches de la ferme expérimentale de Trévarez testent la traite dans un robot installé au champ. Objectif : concilier pâturage et robot. Cette première nationale se passe à Koskerou, à Laz (29). La fin programmée des quotas laitiers en 2015 ouvre de nouvelles perspectives au métier d'éleveur laitier. « L'orientation donnée pour la Bretagne, dans le cadre de la réflexion sur la stratégie à l'horizon 2025, est une production de six milliards de litres de lait, contre 4,5 aujourd'hui », indique André Sergent, le président de la Chambre d'agriculture du Finistère. La ferme expérimentale de Trévarez mène des travaux de recherche appliquée sur différents dispositifs susceptibles de répondre aux besoins des éleveurs en fonction de leur système de production. Le robot de traite mobile en est un. Réduire le coût des aliments Offrant souplesse au travail et réduisant la pénibilité de la traite, le robot équipe aujourd'hui 5 % des élevages bretons. « En 2030, 50 % des installations seraient robotisées. » Cependant, outre l'investissement qu'il représente à l'achat, 150.000 €, le robot engendre des coûts supplémentaires en alimentation (davantage d'aliments concentrés). « Des éléments qui fragilisent les exploitations dans un contexte du prix du lait fluctuant », explique Pascal Le Coeur, le responsable de la ferme expérimentale. L'enjeu de l'expérience menée est de parvenir à concilier pâturage et robot. Il permettrait un abaissement très sensible du coût d'alimentation : à la pâture, il est estimé à 25 € pour 1.000 litres de lait produits, contre 100 € en stabulation. Des vaches « adaptables » Dans une région où l'herbe pousse facilement, Trévarez teste ainsi le premier robot mobile de France. Monté sur une remorque de bétaillère adaptée, il est couplé à un tank à lait, lui aussi posé sur une remorque similaire. « L'assemblage est un prototype mais la structure est réalisable en série », souligne Pascal Le Coeur. Ce poste mobile est installé sur une parcelle de 21 ha, à Laz. Depuis trois semaines, le troupeau de 54 vaches en conversion vers le bio « apprend » à venir jusqu'au robot. Les pâturages sont divisés en deux parties (jour et nuit) : pour aller d'un paddock à l'autre, et donc trouver leur ration, les vaches doivent impérativement passer par une porte de tri et le robot de traite. « C'est une histoire de motivation. Il a été décidé de ne pas les pousser et de les laisser circuler au maximum. Il existe une hiérarchie au sein du troupeau, quelques meneuses montrent la voie ». 245.000 € d'investissement Si les vaches ont encore du mal à venir pendant la nuit, la moyenne de passage au robot par animal est passée de 1,5 à 1,9 par jour. La production est de 21 kg quand le niveau attendu est de 22 à 25 kg. Le temps de présence humaine requis n'est pas encore évalué. L'expérience va se poursuivre jusqu'en octobre. Quant à l'investissement, il n'est pas neutre : outre l'achat du robot, les aménagements réalisés pour le rendre mobile ont coûté 95.000 € à Trévarez, partant d'un site vierge.
03-06-2014 A Trévarez un robot de traite mobile au coeur d'un dispositif ambitieux
Ferme expérimentale laitière des Chambres d'agriculture de Bretagne, Trévarez réalise des essais au service des producteurs de lait bretons depuis plus de 40 ans, en collaboration avec l'Instit...
tracteurs interdits dans val de saane ????
MODIFICATION DE LA CIRCULATION DANS LE CENTRE
~MODIFICATION DE LA CIRCULATION DANS LE CENTRE BOURG ET ACHATS DE PANNEAUX Les aménagements de la voirie du Centre Bourg ne permettent pas une circulation des engins agricoles et des poids lourds, dans des conditions de sécurité optimales. De plus, le mobilier urbain et la borne incendie située au croisement de la Place Daniel Boucour avec la Route d’Eurville, sont régulièrement détériorés. La circulation des poids lourds et des engins agricoles sera interdite dans le Centre Bourg. Des panneaux de signalisation seront commandés à la Société Art-Cad 66,Route de Varvannes à Val de Saâne. Le montant s’élève à H.T 3 028 € 70 T.T.C 3 622 € 33.