LA HORSE
OURASI, « L’AMIRAL » ET… JEAN GABIN !
Ourasi est l’hôte de Gruchy depuis de nombreuses
années et qu’à 27 ans, il y fait figure de « retraité
heureux », selon l’expression de Sébastien Lamy,
s’y portant fort bien. Ourasi et, maintenant, L’Amiral
Mauzun. Pas mal ! Comme s’exclament, amusés, les
Lamy :
« Quelques « grands » sont passés chez nous ! Y
compris parmi les hommes, puisque Jean Gabin tourna,
jadis, à Gruchy, « La Horse », l’un de ses films vedettes.
la sécurité et les lois ne sont ni de gauche ni de droite
IOMA
Histoire des attaques sur des études de recherche de risque
Seralini et ses collègues sont que les dernières d'une série de chercheurs dont les conclusions ont déclenché des campagnes orchestrées de harcèlement.
http://independentsciencenews.org/health/seralini-and-science-nk603-rat-study-roundup/
La publication de Seralini et l'attention des médias qui en résulte, rehausser le profil des défis fondamentaux de la science dans un monde de plus en plus dominée par l'influence des entreprises. Ces défis sont importants pour l'ensemble de la science, mais sont rarement discutées dans des lieux scientifiques.
relation entre l’agriculteur-adhérent et sa coopérative
Numero de revue : 314 Année de publication : 2009
Auteurs : Valérie Barraud-Didier, Marie-Christine Henninger
La relation entre l’agriculteur-adhérent et sa coopérative semble avoir changé de nature. Les adhérents de première génération adhéraient à la coopérative locale et pour la totalité de leur production. Aujourd’hui, ils adoptent des comportements beaucoup plus opportunistes et, bien qu’adhérents d’une coopérative, n’hésitent pas à rechercher l’offre la plus avantageuse. Ce comportement de l’adhérent est d’autant plus fréquent dans le secteur approvisionnement-céréales, caractérisé par un accroissement de la volatilité des prix des matières premières. Les dirigeants de coopératives agricoles doivent donc être capables de retenir leurs adhérents. Cet article montre que la fidélité de l’agriculteur à sa coopérative dépend certes de caractéristiques individuelles ou liées à son exploitation agricole, mais aussi de variables psychologiques sur lesquelles les dirigeants peuvent agir : l’implication de l’agriculteur et la confiance qu’il témoigne à l’équipe dirigeante.
Les dirigeants de coopératives agricoles doivent donc être capables de retenir leurs adhérents
les 50 premiers hectares
Publié le jeudi 18 octobre 2012 - 18h35
La France soumettra le 22 octobre 2012, lors du conseil des ministres de l'Agriculture à Luxembourg, les adaptations au projet de la Commission européen qu'il souhaite voir adoptées, pour une Pac « plus riche en emplois et plus juste ». Stéphane Le Foll demande notamment la revalorisation des aides directes sur les 50 premiers hectares, avec un système de dégressivité. Il l'a annoncé à l'occasion de son audition devant la commission des affaires européennes de l'Assemblée nationale le 17 octobre 2012.
Cette « surprime », comme l'a appelée Germinal Peiro, le spécialiste des questions agricoles au PS lors d'un débat parlementaire le 18 octobre 2012 sur le thème, « La réforme de la Pac : un nouveau contrat social ? », doit permettre de prendre en compte le critère de l'emploi dans la répartition des aides.
Il a rappelé que la France avait perdu 26 % de ses agriculteurs en dix ans et que l'emploi à l'hectare est très différent d'une production à l'autre (céréales, élevage, fruits et légumes). « L'abandon des références historiques et la recherche de convergence des aides, souhaitées par la Commission, ne doivent pas être destructrices d'emplois par la suite », a indiqué le ministre.
il est beau le silo.
Cap Seine inaugure un site de collecte et d’approvisionnement à St Vaast d’Equiqueville Quatre cellules métalliques rondes permettront de stocker chacune 2.100 t de grains avec un débit de réception de 300 tonnes/heure. A côté de celles-ci, un magasin d’approvisionnement de 255 m² pour la distribution de produits de protection des plantes et un bâtiment de stockage de 840 m² pour l’aliment du bétail et la nutrition des plantes complètent le dispositif. Situé à l’extérieur du bourg, ce site remplacera dans un avenir proche le silo existant au cœur du village, au bénéfice d’une centaine d’agriculteurs du secteur. « Ce site répond à la volonté du groupe de repositionner des sites performants pour remplacer des sites moins fonctionnels, voire obsolètes », explique Jean-Jacques Prévost, président de Cap Seine |