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Articles récents

la transhumance

19 Avril 2012 , Rédigé par jr Publié dans #Vie Politique

Yade attaque Hirsch et Amara, des "opportunistes" au comportement "dégueulasse"
publié le 18/04/2012 à 23:03, mis à jour à 23:03
Yade attaque Hirsch et Amara, des "opportunistes" au comportement "dégueulasse"
afp.com/Joel Saget
PARIS - L'ex-secrétaire d'Etat Rama Yade fustige violemment le comportement "dégueulasse" de Martin Hirsch et Fadela Amara, qui ont annoncé leur soutien au candidat PS, les qualifiant d'"opportunistes" et de "lâches" dans un entretien au Parisien à paraître jeudi.
 
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Chirac voterait pour Hollande, affirme l'un de ses proches

17 Avril 2012 , Rédigé par jr Publié dans #Vie Politique

 il a d'abord trahi Jacques Chaban-Delmas en 1974
 
Giscard. Qu'il a trahi ensuite en 1981
 
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Filière lait

15 Avril 2012 , Rédigé par jr Publié dans #actualité agricole

Les prix du lait soutiennent la production mondiale


Le 12 avril, lors d’une conférence de presse de l’Institut de l’élevage, l’économiste Gérard You a confirmé la reprise mondiale de la production de lait grâce à la fermeté des prix. Néanmoins, l’Europe doit prendre garde à ne pas tomber dans un excès de production et se doit de séduire de nouveaux marchés.

«Les prix du lait ont stimulé la production », a soutenu Gérard You, économiste à l’Institut de l’élevage, lors d’une conférence de presse qui s’est tenue le 12 avril. Dans le monde entier, la fermeté des cours a en effet tiré les tonnages à la hausse. En 2011, la production laitière mondiale a ainsi progressé de 16Mt (+2%), pour atteindre les 737Mt (selon la FAO). Il y a de surcroît un « fait nouveau dans l’Union européenne. Les pays qui semblaient en panne de dynamique laitière ont vécu un réveil de leur production, à l’exception de la Roumanie et de la Bulgarie », s’est réjouit Gérard You. Pourtant, sur le continent européen, ce sont toujours la France et l’Allemagne qui soutiennent la cadence. « En Europe, la production a augmenté de 3 Mt, dont 1Mt provient de la France et 500 000 tonnes d’Allemagne », aime rappeler Gérard You. Mais la croissance de la production ne provient pas seulement d’une conjoncture porteuse. Les conditions climatiques ont en effet été favorables dans la plupart des bassins laitiers, notamment en Océanie. Seule la hausse des prix de l’alimentation animale a contenu ce rebond de la productivité mondiale.
Un risque de retournement de marché

Mais un tel emballement de la production comporte le risque d’une détente du marché, et donc d’une baisse des prix du lait. « La production sur la prochaine campagne pourrait atteindre les +3% et devenir supérieure à la demande mondiale, a d’ailleurs averti Gérard You. On est actuellement sur une phase avec des croissances fortes de l’offre et de la demande, mais l’incertitude persiste sur le second semestre avec le retour de la Nouvelle-Zélande ». L’élevage néo-zélandais étant basé sur la valorisation des pâturages, la production laitière connaît en effet un pic important en novembre-décembre. « On peut avoir un retournement », s’inquiète-t-il. « Il suffit de 2 à 3Mt de lait en trop pour qu’il y ait un effet de levier considérable sur les cours du fromage, puis sur les prix du lait et les produits de grande consommation », alerte Gérard You.
Forte concurrence à l’export

Néanmoins, même si une « nouvelle ère d’instabilité, de volatilité et d’imprévisibilité » s’ouvre pour la filière laitière, Gérard You reste serein : « Sur le moyen terme, les fondamentaux sont très bons ». En effet, malgré les réformes entreprises par l’Asie pour augmenter ses rendements laitiers, « sa demande potentielle solvable augmente plus vite que sa croissance de production », assure l’économiste de l’Institut de l’élevage. La seule inquiétude réside en fait dans la prise de ces marchés. Si de grands industriels européens investissent dans des outils de transformation en Asie, l’Océanie a déjà pris position sur ce terrain depuis plusieurs années. « Les pays asiatiques ont des accords bilatéraux avec les exportateurs néo-zélandais et australiens », rappelle Gérard You. Dans un communiqué de presse du 12 avril, le néo-zélandais Fonterra a par ailleurs dévoilé un projet d’investissement dans deux nouvelles super-fermes laitières dans la province d’Hebei en Chine. Fonterra, qui a déjà investi dans 5 fermes en Chine, ambitionne ainsi de produire 1 milliard de litres par an à partir de 2020 sur le territoire chinois.
Vers une baisse des prix du lait ?  

Le syndicat agricole, Confédération paysanne, s'attend à une baisse des prix du lait en avril et met en garde les autorités contre un déséquilibre du marché en raison d'une hausse de la production. "Vous vous réjouissez de l'augmentation de la production laitière en France", soit +5% sur la dernière campagne, ironise le syndicat dans une lettre adressée conjointement au président de la République et au ministre de l'Agriculture, rendue publique mercredi.

Pour le syndicat, marqué à gauche, la hausse de la production ne va pas s'arrêter là avec une augmentation de 1% des quotas pour la nouvelle campagne laitière.
"Vous ouvrez grand les robinets", dénonce la Confédération. Mais dans le même temps des producteurs ne trouvent pas d'acheteurs en raison des difficultés de leurs entreprises, souligne l'organisation syndicale qui cite notamment la Fourme de Montbrison.

 

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17 avril France 2 à 23h : La mort est dans le pré

10 Avril 2012 , Rédigé par jr Publié dans #Environnement

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Les paysans français en danger

10 Avril 2012 , Rédigé par jr Publié dans #Santé Nutrition

Les paysans français en danger

    « La mort est dans le pré », mardi 17 avril à 22 h 40 sur France 2

Les paysans français en danger

Titre initial :
” La mort est dans le pré” : Les paysans français en danger
“… A 45 ans, Caroline Chenet, agricultrice, est veuve depuis un an. Son mari, Yannick, est mort d’une leucémie déclarée alors qu’il n’avait que 37 ans. Empoisonné par les produits chimiques qu’il utilisait pour traiter ses cultures, Yannick est la première victime des pesticides reconnu par la MSA, la mutuelle de santé agricole.
Depuis son décès, Caroline se bat pour que d’autres paysans puissent faire reconnaître leur cancer ou leur maladie neurodégénérative (maladie de Parkinson, par exemple) comme maladie professionnelle.
Elle est aussi la voix du documentaire diffusé mardi 17 avril dans le magazine Infrarouge, sous ce titre volontairement provocateur : « La mort est dans le pré ». Une enquête édifiante, qui donne la parole aux paysans malades d’avoir fait confiance à des produits phytosanitaires qu’on disait sans danger.
Frédéric, viticulteur dans les Charentes, souffre d’un cancer de la vessie. Son médecin lui a dit : « Vous avez le cancer des viticulteurs ». Entre ses séances de chimio et sa nécessaire présence sur les vignes, ce quadragénaire monte le dossier qui, espère-t-il, permettra à sa maladie d’être reconnue comme affection professionnelle. Seul moyen de mettre sa famille à l’abri du besoin.
Si ce jeune père, soutenu par ses parents, a trouvé la force de se battre, beaucoup d’agriculteurs malades n’engagent pas de procédure.
« Le monde paysan, c’est un monde qui se tait », acquiesce Jacky, son père, ancien viticulteur lui-même. « Il faut briser cette loi du silence », répond Caroline Chenet, qui continue à se battre malgré les intimidations qu’elle subit régulièrement : clôtures coupées, vaches égarées.
Tandis que Frédéric lutte contre la maladie « pour pouvoir un jour marier ses enfants », un homme, malade lui aussi, a décidé de passer à la vitesse supérieure. Depuis qu’il a respiré accidentellement du Lasso, un désherbant fabriqué par Monsanto, voilà dix ans, Paul François souffre de graves troubles neurologiques.
Depuis cinq ans, il mène un combat judiciaire acharné contre la multinationale américaine. Son but : faire reconnaître le lien entre son empoisonnement et le produit inhalé.
Une pugnacité récompensée : le tribunal a reconnu la responsabilité de Monsanto dans l’intoxication du céréalier.
Comme lui, Denis, un agriculteur jurassien, est un pur produit de l’agriculture intensive. Comme lui, il a utilisé pendant des années des produits chimiques sans lesquels il n’aurait pu connaître un rendement suffisant. Comme lui, il a connu les hôpitaux et les cohortes d’examens. Aujourd’hui guéri de son lymphome, ce quadragénaire est resté paraplégique. La faute à la tumeur qui a comprimé sa moelle épinière, le privant de l’usage de ses jambes.
Denis, condamné au fauteuil roulant ou aux béquilles, s’est lancé dans un nouveau combat : se convertir à l’agriculture bio. Pour que la maladie ait au moins servi à ça : « Laisser quelque chose de propre à (ses) enfants ». Ses enfants, Frédéric, le viticulteur, ne les verra pas grandir. Il est mort pendant le tournage, après une flambée de son cancer.
Le jour de sa rechute, la MSA avait rendu un avis négatif sur sa demande de reconnaissance de maladie professionnelle…”
Sources from Anne-Sophie Douet, pour Paris-Normandie
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Robot et pâturage

31 Mars 2012 , Rédigé par jr Publié dans #Matériel

http://laterredecheznous.com/news/fullstory.php/aid/3548/Robot_et_p_E2turage.html Matin et soir, les éleveurs ramènent toutes les vaches au bâtiment. « Ca permet de s’assurer qu’elles sont traites effectivement deux fois, et éventuellement la contention pour une IA par exemple. »
 
Des robots de traite mobiles... Oui, cela existe !
 
 
 
 
 
 
En cette saison, nos vaches peuvent pâturer 24h/24. Ce système est parfaitement compatible avec l'utilisation de robots Lely Astronaut. Concrètement, le pâturage suit directement la phase de traite. Nous allons chercher nos vaches deux fois par jour
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