à moins de 200 mètres des écoles
http://www.franceinfo.fr/vie-quotidienne/environnement/article/vignes-et-ecoles-une-cohabitation-difficile-493693
~~Selon les premiers éléments de l’enquête les viticulteurs en cause dans l’intoxication des enfants à Villeneuve-de-Blaye auraient épandu leurs produits alors que le vent soufflait à plus de 19 km/h. Or c’est interdit
~~http://www.francebleu.fr/infos/viticulture/la-vigne-qui-jouxte-l-ecole-pomerol-en-gironde-pas-un-souci-pour-les-parents-d-eleves-1542557
~~Le Foll défend le projet d'interdiction d'épandage de pesticides Publié le 19.06.2014, 18h26 Envoyer Réagir Agrandir le texte Diminuer le texte Imprimer l'article Tout leParisien.fr sur votre mobile Le ministre de l'Agriculture, Stéphane Le Foll, a défendu jeudi le projet d'interdiction des épandages de pesticides à moins de 200 mètres de certains lieux publics tout en cherchant à rassurer les agriculteurs sur sa portée. "Il s'agit d'avoir des mesures pour protéger des lieux publics, en particulier des écoles, des hôpitaux voire des maisons de retraite, et ça restera cet objectif-là", a déclaré M. Le Foll au micro d'Europe 1. "Jamais il n'a été question d'interdire à 200 m de toutes les habitations", a-t-il précisé pour apaiser les craintes de certains agriculteurs et mettre fin à d'éventuelles mauvaises interprétations. Le gouvernement proposera un amendement sur la question la semaine prochaine, lors de l'examen de la loi d'avenir pour l'agriculture en commission, a indiqué le ministère de l'Agriculture dans un communiqué en fin de journée. Parmi les mesures de protection envisagées figurent l'utilisation de haies, de buses anti-dérives (pour éviter la dispersion des produits), ou la fixation de dates et horaires d'utilisation des produits. "En l'absence de mesure de protection adaptée, une distance minimale d'utilisation sera à respecter", précise le communiqué. Le projet de loi sera examiné en 2e lecture à l'Assemblée nationale les 7 et 8 juillet. La FNSEA, premier syndicat agricole, appelle à une mobilisation nationale le 24 juin pour mettre un "carton jaune" au gouvernement, accusé de multiplier les "contraintes" envers les agriculteurs. Mercredi, le secrétaire général de la FNSEA Dominique Barrot avait estimé que ce projet d'interdiction des épandages ferait perdre la moitié des terres cultivables dans certains départements. Début mai, une vingtaine d'enfants et une enseignante d'une école primaire de Gironde avaient été pris de malaises après l'épandage d'un fongicide sur des vignes situées à proximité de l'établissement. La ministre de l'Environnement Ségolène Royal avait annoncé fin mai qu'elle présenterait "très prochainement", avec son collègue de l'Agriculture, une interdiction des épandages de produits phytosanitaires à moins de 200 mètres des écoles
« En 2030, 50 % des installations seraient robotisées. »
~~Robot de traite mobile. En direct du champ 6 juin 2014 à 09h01 / Gwénaëlle Le Ny / Ferme de Trévarez. Le robot de traite mobile à l'essai. Le reportage de Gwenaëlle Le Ny. Plus d'infos sur www.letelegramme.fr Depuis le 13 mai, 54 vaches de la ferme expérimentale de Trévarez testent la traite dans un robot installé au champ. Objectif : concilier pâturage et robot. Cette première nationale se passe à Koskerou, à Laz (29). La fin programmée des quotas laitiers en 2015 ouvre de nouvelles perspectives au métier d'éleveur laitier. « L'orientation donnée pour la Bretagne, dans le cadre de la réflexion sur la stratégie à l'horizon 2025, est une production de six milliards de litres de lait, contre 4,5 aujourd'hui », indique André Sergent, le président de la Chambre d'agriculture du Finistère. La ferme expérimentale de Trévarez mène des travaux de recherche appliquée sur différents dispositifs susceptibles de répondre aux besoins des éleveurs en fonction de leur système de production. Le robot de traite mobile en est un. Réduire le coût des aliments Offrant souplesse au travail et réduisant la pénibilité de la traite, le robot équipe aujourd'hui 5 % des élevages bretons. « En 2030, 50 % des installations seraient robotisées. » Cependant, outre l'investissement qu'il représente à l'achat, 150.000 €, le robot engendre des coûts supplémentaires en alimentation (davantage d'aliments concentrés). « Des éléments qui fragilisent les exploitations dans un contexte du prix du lait fluctuant », explique Pascal Le Coeur, le responsable de la ferme expérimentale. L'enjeu de l'expérience menée est de parvenir à concilier pâturage et robot. Il permettrait un abaissement très sensible du coût d'alimentation : à la pâture, il est estimé à 25 € pour 1.000 litres de lait produits, contre 100 € en stabulation. Des vaches « adaptables » Dans une région où l'herbe pousse facilement, Trévarez teste ainsi le premier robot mobile de France. Monté sur une remorque de bétaillère adaptée, il est couplé à un tank à lait, lui aussi posé sur une remorque similaire. « L'assemblage est un prototype mais la structure est réalisable en série », souligne Pascal Le Coeur. Ce poste mobile est installé sur une parcelle de 21 ha, à Laz. Depuis trois semaines, le troupeau de 54 vaches en conversion vers le bio « apprend » à venir jusqu'au robot. Les pâturages sont divisés en deux parties (jour et nuit) : pour aller d'un paddock à l'autre, et donc trouver leur ration, les vaches doivent impérativement passer par une porte de tri et le robot de traite. « C'est une histoire de motivation. Il a été décidé de ne pas les pousser et de les laisser circuler au maximum. Il existe une hiérarchie au sein du troupeau, quelques meneuses montrent la voie ». 245.000 € d'investissement Si les vaches ont encore du mal à venir pendant la nuit, la moyenne de passage au robot par animal est passée de 1,5 à 1,9 par jour. La production est de 21 kg quand le niveau attendu est de 22 à 25 kg. Le temps de présence humaine requis n'est pas encore évalué. L'expérience va se poursuivre jusqu'en octobre. Quant à l'investissement, il n'est pas neutre : outre l'achat du robot, les aménagements réalisés pour le rendre mobile ont coûté 95.000 € à Trévarez, partant d'un site vierge.
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03-06-2014 A Trévarez un robot de traite mobile au coeur d'un dispositif ambitieux
Ferme expérimentale laitière des Chambres d'agriculture de Bretagne, Trévarez réalise des essais au service des producteurs de lait bretons depuis plus de 40 ans, en collaboration avec l'Instit...
tracteurs interdits dans val de saane ????
MODIFICATION DE LA CIRCULATION DANS LE CENTRE
~MODIFICATION DE LA CIRCULATION DANS LE CENTRE BOURG ET ACHATS DE PANNEAUX Les aménagements de la voirie du Centre Bourg ne permettent pas une circulation des engins agricoles et des poids lourds, dans des conditions de sécurité optimales. De plus, le mobilier urbain et la borne incendie située au croisement de la Place Daniel Boucour avec la Route d’Eurville, sont régulièrement détériorés. La circulation des poids lourds et des engins agricoles sera interdite dans le Centre Bourg. Des panneaux de signalisation seront commandés à la Société Art-Cad 66,Route de Varvannes à Val de Saâne. Le montant s’élève à H.T 3 028 € 70 T.T.C 3 622 € 33.
blé détruit
~~Agriculture : Des centaines d'hectares de blé détruits à cause d'un désherbant non autorisé
~~ Le Nord Pas-de-Calais 600 hectares sont concernés et 24 agriculteurs. Dans le nord de la France, cela concerne une cinquantaine d'agriculteurs. 1.500 hectares de blé du nord de la France ont été détruits après qu'un désherbant surdosé ait été appliqué sur ces cultures. Deux composants surdosés qui se seraient retrouvés chez des agriculteurs français à cause d'un erreur d'étiquetage. Selon la société qui commercialise ce désherbant, explique que le produit est utilisé en Espagne et en Italie avec les autorisations nécessaires. Mais en France, il n'est pas utilisé car pas autorisé. Les demandes d'autorisation n'auraient pas été formulées auprès des autorités françaises, explique le service de presse de Dow AgroSciences, qui confirme l'information de France Bleu Nord. Les 49 agriculteurs concernés ont été contactés par la société qui vend le désherbant et vont être indemnisés. La chambre d'Agriculture du Nord Pas-de-Calais a dépêché des ingénieurs pour vérifier qu'il n'existe aucune nuisance pour les agriculteurs et les populations voisines. "Il n'y a pas de danger", assure-t-elle.
1000 vaches
une cinquantaine de militants anti-Mille vaches a démonté la salle de traite de la ferme des Mille vaches, mercredi vers 5 heures du matin. Quatre personnes ont été placées en garde à vue. Un militant a voulu forcer le passage, vite calmé par ses camarades. La tension est rapidement retombée. Imprimer - A + En septembre 2013 puis en janvier 2014, la Confédération paysanne s’était rendue à Drucat. La première fois, ils avaient tagué le site et démonté des pièces de tracteurs. La seconde fois, ils avaient causé des dégâts dans l’immense étable avant de s’enchaîner, retardant le chantier de plusieurs jours. Cette fois, ils s’en sont pris à la future salle de traite. Mercredi matin, aux environs de 5 heures, une cinquantaine de militants, venus des quatre coins de France, ont démonté patiemment des pièces de la machine de traite circulaire. Vers 7 heures, les premiers salariés sont arrivés sur le site et ont rapidement prévenu les gendarmes. Un dispositif important a été mis en place par les militaires pour éviter tout débordement. Le sous-préfet d’Abbeville, Jean-Claude Geney, s’est rendu sur place. Vers 9 heures, les anti-Mille vaches ont été parqués à bonne distance des bâtiments. Quatre d’entre eux – trois hommes et une femme - ont été placés en garde à vue. Pendant près d’une heure, les militants de la Conf’ ont été empêchés de partir, à la fois par les gendarmes qui faisaient barrage, et par des engins de chantier du groupe Ramery bloquant le passage. Aux alentours de 10 heures, les militants ont pu quitter le site. Ils ont rejoint la compagnie de gendarmerie d’Abbeville, où les attendaient quelques membres de Novissen, l’association de Drucat qui a lancé la fronde contre ce projet. À la mi-journée, les quatre personnes arrêtées étaient toujours en garde à vue. Une partie des militants de la Confédération paysanne a pris la route pour Paris, dans l’objectif de déposer les pièces démontées au ministère de l’Agriculture.
stigo
~~ Stigo, le scooter électrique pliant Dans la catégorie "Mobilité" des Prix EDF Pulse dévoilés le 23 avril et destinés à récompenser les meilleures innovations en lien avec l'électricité, EDF a sélectionné trois projets. L'un d'eux est porté par une équipe internationale, désireuse de rendre la mobilité des personnes effectuant de longs trajets tous les jours plus agréable. Stigo. Derrière ce nom de code, c'est un projet d'un nouveau genre qui a vu le jour et s'est vu récompenser par l'électricien français EDF. Ce scooter électrique a pour originalité d'être pliant. Cette fonctionnalité lui permet d'être facile d'utilisation au quotidien, tant par des hommes que par des femmes. L'équipe, essentiellement d'origine estonienne, à l'origine de ce projet, avait pour objectif de soulager les millions de personnes qui chaque jour doivent faire de longs trajets en transport en commun pour se rendre à leur travail. Le Stigo a alors été élaboré comme une solution de déplacement du "dernier kilomètre" pour relier lieu de travail et transport en commun. Ces passionnés de l'éco-innovation, qui assurent vouloir préparer un futur plus propre et des moyens de transport plus doux, ont par-dessus tout peaufiné le design de leur produit. Léger et facile d'utilisation En jouant sur son poids (13,5 kg) et sur sa maniabilité, l'équipe a permis à Stigo de se plier en deux secondes seulement. Son empreinte au sol se réduirait alors à seulement 45 x 40 cm. Une aubaine pour pouvoir le ranger directement à son bureau ou dans un transport public. Cette solution se veut donc idéale pour pallier les manques de places de stationnement pour les deux-roues dans les villes. Sur le plan de son efficacité, le Stigo roule à 25 km/h en vitesse de pointe, et peut fonctionner pendant 40 kilomètres avec une seule charge, grâce à son moteur de 250W et sa batterie LifePO4 de 36 volts. L'alimentation se fait directement sur une prise domestique, ce qui rend son coût d'utilisation final équivalent à 1,5 centime par jour. Sa commercialisation en France a été annoncée pour 2015 avec un prix de vente équivalent à 1490 euros. Le projet est piloté en France par l'expert en industrie automobile et spécialiste de la Mobilité Alternative, Alain Giraud, qui a notamment développé le Renault Twizy. Sa conception devrait se faire dans une usine à Alès dès la fin d'année. Au total, l'entreprise entend mettre sur le marché 8 000 exemplaires de Stigo en 2015. L'équipe pourrait bien refaire parler d'elle dans le futur, car les créateurs de Stigo ont déjà mis au point d'autres start-up dans les domaines de l'électricité, de l'informatique et de la santé. Une diversification qui a plu à EDF.