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Articles récents

PARTOUT, mais vrai-vrai-vraiment…….. partout !

2 Janvier 2011 , Rédigé par jr Publié dans #actualité agricole

Voici comment un agriculteur politicien  noyaute le système

Voilà l’exemple d'un  noyautage du système au profit des filières et du syndicat majoritaire par un seul homme.

Monsieur Xavier Beulin a été nommé récemment Président de France Agri Mer, par le Ministre de l’agriculture !

Il y a beaucoup à dire sur Xavier Beulin, et son curriculum vitae.



Source: Fotosearch
Source: Fotosearch
C’est un Homme très impressionnant, il est absolument, PARTOUT, mais vrai-vrai-vraiment…….. partout ! 

- FNSEA, Cetiom, Sofiproteol, Chambres d’agriculture, CESR, etc…… 

« M. Xavier BEULIN » 

Né le 19 décembre 1958 à Donnery, Loiret 

Exploitant agricole en GAEC dans le Loiret depuis 1976 sur une exploitation de 170 hectares de grandes cultures, céréales et oléoprotéagineux. 

RESPONSABILITÉS :

RÉGIONALE : 

1. Président du Conseil économique et social régional du Centre (CESR) (depuis 2001). 

2. Président de la chambre départementale d'agriculture du Loiret (depuis 1995). 

3. Vice-président de la Fédération départementale des syndicats d'exploitants agricoles du Loiret (FDSEA) (depuis 1990). 

4. Premier Vice Président de la chambre régionale d'agriculture du Centre. 

5. Président de la commission "Questions agricoles" de l'Assemblée des Conseils économiques et sociaux régionaux de France (depuis 2005). 

6. Membre de la Conférence nationale des services publics en milieu rural (depuis 2005). 

Président de l’Association Bioénergie Centre (depuis 2006) 

Président du Conseil de Développement de la Communauté d’agglomération Orléans Val de Loire (depuis 2004) 

NATIONALES 

7. Premier Vice Président de la FNSEA depuis 2005 et Président du Comité de coordination des associations spécialisées 

8. Président du Haut Conseil à la Coopération Agricole (HCCA) (depuis 2007) 

9. Président de la Fédération nationale des producteurs d'oléagineux et protéagineux (FOP) depuis 1999 

10. Président de Sofiproteol (depuis 2000) 

Président du Cetiom (Centre Technique Interprofessionnel des oléagineux métropolitains) (depuis 2000) 

11. Membre du conseil de direction de l'Office national interprofessionnel des grandes cultures (ONIGC) et administrateur de l’Agence unique de paiement (AUP) (depuis 2006) 

12. Membre du groupe restreint du comité technique permanent de la sélection des plantes cultivées (depuis 2006). 

INTERNATIONALES : 

Président de l’Alliance Européenne des oléoprotéagineux (EOA) (depuis 2002)- L’EOA a pour objet de défendre le secteur oléagineux européen au travers de dossiers d’intérêt général. 

Membre du Conseil de prospective européenne et internationale pour l'agriculture et l'alimentation (depuis 2006) 

DÉCORATIONS :

Officier du Mérite Agricole 

Chevalier de l’Ordre National du Mérite. 

……………………………………………………………………… 


Il faut espérer que les médias et le public sauront faire la part des choses, entre me surettes et réforme profonde. 

Aujourd’hui, l’agriculture a besoin d’une vision à long terme, pour une protection sociale dans nos campagnes. 

Aussi dit  campagne !

Protection de la biodiversité, de l’environnement, il faut exiger des Politiques des ambitions à la hauteur du désastre causé par la Politique Agricole Commune (PAC) instauré par ce même Syndicat nommé FNSEA.
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LE COSTUME DES JOURS OUVRIERS - ARTISANS ET PAYSANS

2 Janvier 2011 , Rédigé par jr Publié dans #pays de caux

LE COSTUME MASCULIN

 

Au XVIIIème siècle, la chemise et la culotte de toile sont les vêtements de travail des ouvriers agricoles    l'été. Un mouchoir de toile noué autour du cou complète la tenue. Les guêtres ou houseaux de toile ou de coutil protègent les bas ou les jambes (pour ceux qui n'ont pas de bas. Les sabots de bois    économisent les chaussures réservées aux jours de fête. Le chapeau à bord (feutre de laine)  abrite du soleil ou de la pluie et se porte sur un bonnet de laine.

A la fin du XVIIIème siècle, le velours de coton est adopté pour la confection des culottes et la siamoise    (chaine:lin - trame:coton) rayée pour les pantalons.

 

Au XIXème siècle, la blaude ordinaire (non brodée) connut un grand succès tout au long du siècle chez les    classes laborieuses, elle fut parfois le seul vêtement avec le pantalon de coutil.

 

La casquette devient une coiffure populaire vers le milieu du XIXème siècle. Précédemment, les premières    casquettes furent portées par des citadins et des propriétaires ruraux fortunés. A partir de 1850 environ, elle devint le crouvre-chef des ouvriers, des paysans et des matelots. C'est    vraisemblablement  à la fin de ce siècle que la casquette "à pont" est à la mode chez les cultivateurs.

 

La cravate, comme au siècle précédent, est un mouchoir noué.

 

Les vêtements de protection sont rares : les gilets de peau de mouton préservent du    froid et de l'humidité. Le tablier de cuir est porté par les bourreliers et les forgerons.

 

trio-paysan.JPG

 PAYSAN AVEC MOUCHOIR DE COU ET    BONNET DE COTON

PAYSANNES PORTANT CALIPETTE ET BONNET    DE DESSOUS

 

LE COSTUME FÉMININ

 

Au XVIIIème siècle, la tenue féminine quotidienne comprend : Chemise de toile à manche,    corselet, jupes de toile ou de siamoise légère ou d'épais tissus selon la saison, mouchoir de cou, bonnet matelassé, tablier de toile oiu de lin, bas de laine et sabots de    bois. 

 

Pour s'abriter des intempéries, la femme s'enveloppe dans une cape appelée "capot", un vaste    capuchon protège la tête. Quelquefois c'est un tablier de droguet que l'on met sur la tête et les épaules poyur se protéger du mauvais temps. On l'appelle "tablier à    s'affubler".

 

Au XIXème siècle, les articles de bonneterie, par leur bon marché et leur facilité    d'entretien, sont adoptés par les femmes, en particulier le bonnet de coton, qu'elles portent le jour pour travailler. Mais elles possèdent d'autres bonnets journaliers : bonnets matelassés    (simples et de petites dimensions), serre-tête, calipettes, bonnets à pattes nouées sous le menton, bonnets carrés. Elles utilisent aussi le dessous des bonnets ronds qu'elles portent les    jours fériés (départements de l'Eure et de la Seine-Maritime autrefois Seine-Inférieure). 

 

L'abondante production normande des mouchoirs de cou imprimés permet aux femmes d'en    posséder un grand nombre aux décors variés.

 

 

Les bas de coton fabriqué sur métier sont unis, rayés et même    imprimés.

 

 

Margot-Calipette.JPG

 PAYSANNE PORTANT BONNET DIT    "CALIPETTE"

 

serre tete duclair

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

PAYSANNE PORTANT UN BONNET SERRE-TÊTE

 

( DUCLAIR ET LES BORDS DE SEINE)   

 

 

 

 

 

 

 

 

 

filles-bonnets.JPG

 

 

 

 

JEUNES PAYSANNES ENTOURANT UN RICHE FERMIER

 

PETIT BONNET SIMPLE

CALIPETTE FLEURIE

 

 

 

 

 

 

 

 

Jeanneton-Varengeville.JPG

PAYSANNE  GOÛTANT LE CIDRE NOUVEAU

BONNET DE VARENGEVILLE SUR MER

 
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Ils ont relevé la tête

31 Décembre 2010 , Rédigé par jr Publié dans #loisirs divers

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protéger les exploitations agricoles à taille familiale liées au territoire.

29 Décembre 2010 , Rédigé par jr Publié dans #FNSEA

Dominique Barrau reste fidèle à ses convictions

 




Dominique Barrau reste fidèle à ses convictions
Mardi, c'était la première apparition de Dominique Barrau en Aveyron après sa défaite à l'élection de la présidence de la FNSEA, remportée par Xavier Beulin. Ne se cachant pas derrière sa déception, il n'a pas pour autant affiché un visage abattu. Mais plutôt déterminé.   « Je savais à quoi je m'exposais. Mais à aucun moment je n'ai imaginé quitter le bateau. » Saluant ceux qui l'ont soutenu dans le département, tout en   « respectant le secret des urnes », il a toutefois regretté que la strate régionale ne l'ait pas plus épaulé.   « On paye encore la manifestation de Clermont-Ferrand, qui a mobilisé les agriculteurs du Massif Central », explique Dominique Fayel. Dominique Barrau a tenu cependant à souligner

qu'il n'était pas démobilisé, prêt à renouveler le combat pour la défense des zones de montagnes et fidèle à sa volonté de protéger les exploitations agricoles à taille familiale liées au territoire.   « Je crois en cela. Pas question de sombrer dans un schéma unique d'exploitation. » Il compte sur les trois mois qui viennent, avant le congrès de Saint-Malo, pour caler tout cela.  

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citoyen de Gammarth-Port ???

27 Décembre 2010 , Rédigé par jr Publié dans #actualité agricole

 

 

Vous ne l’avez peut-être pas relevé. Xavier Beulin, le nouveau président de la toute -puissante Fédération nationale des syndicats d'exploitants agricoles (FNSEA) qui regroupe depuis 1946, 70% des agriculteurs français, est citoyen de Gammarth-Port. Incarnant une nouvelle génération de dirigeants agricoles, il a été élu le 16 décembre 2010, par le conseil d’administration, succédant ainsi à Jean-Michel Lemétayer.

Propriétaire depuis 1977 d’une exploitation de 170 hectares dans le Loiret, Xavier Beulin, 52 ans, est également président de Sofiprotéol, un fonds d’investissement agricole, et président du conseil économique, social et environnemental régional (CESER) du Centre.

Grand amoureux de la baie de Tunis, il adore promener son regard sur le grand bleu méditerranéen, contemplant les hauteurs de Gammarth et le merveilleux village de Sidi Bou Said. Mabrouk.

 

 

http://www.leaders.com.tn/article/xavier-beulin-ce-citoyen-de-gammarth-nouveau-president-de-la-puissante-fnsea-en-france?id=3513




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Bovins : une production européenne en baisse en 2011

27 Décembre 2010 , Rédigé par jr Publié dans #Bovins

« En 2011, selon Agreste, la production bovine de l’Union européenne devrait atteindre 29,3 millions de têtes, inférieure de 1 % à la production attendue en 2010. Ce recul concernerait l’ensemble des principaux pays européens, excepté l’Espagne qui prévoit une production à la hausse. » Les productions de veaux, gros bovins et génisses devraient diminuer. Pour 2011 le cheptel de vaches se maintiendrait au niveau de 2010. Cette année-ci, « la production bovine européenne se stabiliserait », souligne la note d’Agreste qui évoque également le niveau du cheptel. En 2010, « le nombre total de vaches diminue de près de 1 %. Cette baisse est essentiellement due à la diminution du cheptel de vaches laitières qui perdrait près de 375 000 têtes. » Elle serait compensée par une progression du nombre de vaches allaitantes (+72 000 têtes). En France, la chute des effectifs de vaches laitières est importante (-74 000 têtes), comme en Pologne et en Allemagne. En vaches allaitantes, le cheptel reste stable à l’inverse de l’Allemagne, l’Italie ou l’Espagne.



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DAKAR 2011

25 Décembre 2010 , Rédigé par jr Publié dans #loisirs divers

 

 

 

 

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Coup de frein gouvernemental sur l'agriculture bio

21 Décembre 2010 , Rédigé par jr Publié dans #Environnement

Le projet de loi de Finances 2011 qui vient d'être adopté par le Sénat réduit de moitié le crédit d'impôts sur les revenus accordé aux agriculteurs convertis à l'agriculture biologique. Après l'environnement, le bio ça commence à bien faire ?...      Accusés de produire des aliments contenant des substances toxiques pour la santé du fait de l'usage intensif de pesticides de synthèse, d'appauvrir la terre par le recours massif aux engrais chimiques pour avoir des rendements de plus en plus élevés, d'assécher les cours d'eau pour irriguer les plantes, et de détruire la biodiversité, beaucoup d'agriculteurs gérant de petites exploitations se sont convertis à l'agriculture biologique, malgré les contraintes règlementaires très importantes, et les risques financiers. Et ils ont été encouragés dans cette démarche par différentes aides accordées par l'Etat : aides financières à la conversion et au maintien, remboursables, et aide fiscale annuelle sous forme de crédit d'impôts lorsque au moins 40 % des recettes proviennent d'activités relevant du mode de production biologique. Le montant du crédit d'impôt étant égal à 2 400 euros, majoré de 400 euros par hectare exploité selon le mode de production biologique dans la limite de 1 600 euros, soit un maximum de 4000€.
Ce crédit d'impôts avait été retenu pour remettre un peu de justice dans l'attribution des aides en ciblant surtout les petites structures qui n'en percevaient pas ou très peu.

Ces aides, le Gouvernement avait bien compris qu'elles étaient nécessaires pour développer rapidement l'agriculture biologique, et pour atteindre les objectifs fixés par le " Plan Agriculture bio " lancé en 2007, à savoir la conversion de 6% de notre surface agricole en production bio en 2012, et 20% en 2020.

Et elles ont été  relativement efficaces puisque la barre des 20 000 exploitations agricoles bio a été franchie en octobre dernier. Fin juillet 2010, on comptait 3000 nouvelles exploitations bio par rapport au 31 décembre 2009. Ce qui représentait un rythme de conversion en augmentation de 30% par rapport à la même période de l'année dernière.

Pour autant les terres agricoles bio ne représentent aujourd'hui que 2,5% de la surface agricole française. On est donc  encore très loin des objectifs du " Plan Agriculture bio ".

Le développement de l'agriculture biologique est pourtant une nécessité criante. En termes de santé publique bien sûr, car, faut-il le rappeler, le lien entre les pesticides retrouvés dans les produits agroalimentaires et un nombre croissant de maladies, dont le cancer,  ne fait plus aucun doute. En termes d'environnement aussi car la biodiversité est, on le sait, gravement menacée par l'utilisation des produits chimiques.  En termes d'emplois encore car dans les 15 prochaines années, 40% des agriculteurs vont partir à la retraite. Or les jeunes ont besoin de motivation pour prendre la relève. Et pour beaucoup  d'entre eux l'agriculture biologique représente un espoir, un travail noble, et une véritable mission qu'ils ont envie de mener. Enfin en termes économiques, le développement de l'agriculture bio  est indispensable car la demande en produits bio ne cesse d'augmenter. Et il est évidemment préférable d'encourager la production agricole bio sur nos terres  riches et abondantes,  plutôt que d'importer massivement des produits dont, par ailleurs, la certification bio n'est pas toujours garantie, du fait d'une réglementation beaucoup plus laxiste dans nombre d'autres pays, y compris de la Communauté Européenne, comme l'a démontré une enquête publiée par notre confrère L'Expansion.

Lire : Produits bio importés : faut-il les boycotter ?

Des économies qui vont nous coûter cher

Ce n'était donc vraiment  pas le moment de réduire l'aide fiscale accordée aux agriculteurs bio car nul doute que cette mesure va décourager beaucoup de candidats à la conversion et peut être même en amener d'autres à arrêter le bio.

Ce coup de rabot fiscal, qui va affecter essentiellement les petites exploitations, et qui ne rapportera à l'Etat que l'équivalent de 16 millions d'euros, risque en fin de compte de coûter beaucoup plus cher qu'il ne rapportera.

 

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