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environnement

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La Ferme du Bec Hellouin

28 Avril 2011 , Rédigé par jr Publié dans #Environnement

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la derniére ferme de paris

13 Avril 2011 , Rédigé par jr Publié dans #Environnement

 

 

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Méthanisation Fumier

12 Avril 2011 , Rédigé par jr Publié dans #Environnement

Méthanisation solide à base de fumier

Produire du biogaz, sans construire une usine à gaz !

L’Eribox d’Erigène est un caisson qu’il suffit de remplir de fumier tous les mois pour produire du biogaz. Un concept novateur, dévoilé au Sima 2011. Il devrait intéresser les petites et moyennes exploitations d’élevage.

Produire du méthane à moindre coût à partir de fumier dans un caisson, c'est aujourd'hui possible. Voila une idée simple et innovante qui a germé dans la tête d'Olivier Lespinard. Cet inventeur passionné a fondé la société Erigèneen 2009 pour développer son concept.

Des bennes a fumier déplaçables


Chargement de fumier dans un digesteur Eribox. Les bennes sont transportables sur remorque polybenne pour faciliter l'évacuation du digestat au champ. (© DR Erigène)

Grâce aux progrès des techniques de méthanisation en phase solide il est désormais possible de produire du méthane à partir de fumier, de déchets verts, de résidus de culture, ou de refus de fourrages. Le système Eriboxest composé de 3 à 10 modules (« bennes ») placés sur une aire stabilisée, si possible a proximité de la fumière. Ces digesteurs s'ouvrent à la fourche et se chargent par le haut. Ils sont directement reliés à un centre de commande qui permet à l'éleveur de piloter et d'analyser les performances.

Les digesteurs peuvent être associés à un cogénérateur pour produire de l'électricité vendue à Edf. Sinon, la chaleur émise sert à chauffer des bâtiments d'élevages (nurserie, porcs, volailles,...), des serres ou pourquoi pas des habitations. « Après trois à six semaines d'activité microbienne (selon la nature de la matière première), on obtient un digestat désodorisé, quasiment composté et n'ayant pas perdu d'azote par volatilisation. » Le digestat obtenu peut être stocké au champ ou directement épandu. Les bennes sont déplaçables avec une remorque polybenne.


Les digesteurs sont reliés à un centre de commande auquel il est possible
d'y adjoindre un cogénérateur pour produire de l'électricité. (© DR Erigène)

« Facile d'entretien, les digesteurs ne perturbent pas le travail de l'exploitant. Bien moins chère qu'une installation de méthanisation liquide, les digesteurs solides devraient permettre un retour sur investissement relativement court selon l'utilisation faite de la chaleur. De plus, les modules peuvent être revendus, contrairement aux grosses unités de méthanisation.» 

Caler la production de chaleur avec le cycle de production des animaux

« Entre l'étude de projet, le raccordement électrique et la mise en place des modules sur le site, il faut environ neuf mois pour monter un projet de A à Z. Nos digesteurs devraient beaucoup intéresser les agriculteurs ayant également un élevage hors-sol, gros consommateurs de propane. Grâce aux digesteurs, il est par exemple possible de caler la production des méthaniseurs avec les besoins en chaleur d'une bande de poussins ou de porcelets. »

« Le modèle de méthanisation allemand n'est pas adapté aux exploitations françaises »


Le couvercle du digesteur se soulève à la fourche. La porte arrière s'ouvre pour vider le digestat. (© DR)

Olivier Lespinard explique que « nous ne pouvons pas directement transposer les techniques de méthanisation allemande. En France, les structures sont souvent de taille plus modeste.

La technique de méthanisation liquide est la plus répandue, mais elle ne s'adresse qu'aux producteurs de porcs ou de bovins sur lisiers. Ainsi, la grande majorité des exploitations françaises pratiquent l'élevage sur paille et n'a alors pas accès à la production de biogaz à la ferme.

Pour réellement développer la filière biogaz en France, il faudrait équiper les milliers d'exploitations bovines de 50 à 150 Ugb. »

 

TNC Robin Vergonjeanne

 

 

 

 

http://erigene.com/

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les Terrenales

15 Mars 2011 , Rédigé par jr Publié dans #Environnement

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le temps n’est plus avec les paysans

22 Février 2011 , Rédigé par jr Publié dans #Environnement

On achève bien les prairies naturelles
11 septembre 2010
                Publié par Criwar
 

prairie-naturelleElles sont appelées «  naturelles » parce que non ensemencées par l’homme, leur flore variée se reproduit d’elle-même. Source de très grande biodiversité, la prairie absorbe un maximum de CO2 par photosynthèse, empêche tout ruissellement par forte précipitation et piège les nitrates. De plus c’est une production fourragère économiquement productive ignorante des pesticides.

La FAO (Food Agriculture Organization) à Copenhague en décembre 2009 communique sur « les prairies qui ont un vaste potentiel inexploité pour atténuer le changement climatique en absorbant et en stockant du CO2 ».

A partir de 1992, la réforme de la PAC (Politique Agricole Commune) va offrir des aides conséquentes pour la culture du maïs et rien pour l’herbe, entraînant le retournement de près de la moitié des prairies naturelles.

Quelques années plus tard, la Commission européenne constatant les dégâts venant de ses propres décisions, impose aux états de recenser et de localiser les surfaces en prairies naturelles avec interdiction de les retourner.

Mais le 2 avril 2010, le ministre de l’agriculture écrit au président de la Fnsea l’informant que les prairies permanentes pourront être déplacées (c’est-à-dire retournées) « à condition de ne pas diminuer la surface globale nationale. (…) l’année 2010 deviendra l’année de référence pour le maintien des prairies naturelles ».

Du coup, tout ce qui restait de labourable va être labouré pour y faire du maïs avec insecticides, herbicides, arrachage de haies…Il faut profiter d’une fenêtre de tir, d’une opportunité qui ne se représentera pas !

Contactée par téléphone la direction départementale des territoires (la DDT ça ne s’invente pas) de l’Orne confirme : « S’il y a baisse de la surface, les agriculteurs seront obligés de refaire des prairies naturelles ».

On ne refait pas une prairie naturelle, elle se refait seule au fil des ans, et le temps n’est plus avec les paysans.

 
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Algues Vertes

16 Février 2011 , Rédigé par jr Publié dans #Environnement

 

Algues vertes : André Pochon réagit après l’émission de Thalassa

Un communiqué d’André Pochon pour VivArmor Nature

dimanche 19 avril 2009

 

Un communiqué de presse d’André Pochon, vice président de VivArmor Nature

Il est bien compréhensible que l’émission de Thalassa, entre autres la séquence sur les algues vertes, provoque la colère de tous ceux qui vivent du tourisme. Il n’en est pas moins vrai que ces algues sont là chaque année, de plus en plus nombreuses, avec les coûts supportés par la collectivité, le triste spectacle de leur étalement, leur puanteur et les graves dangers pour notre santé clairement identifiés : la décomposition des algues vertes tue !

Rien n’est pire que la politique de l’autruche, de nier la réalité, et les algues ne sont que la partie visible de la pollution généralisée de la baie de Saint-Brieuc.

Le Gouessant, l’Urne et l’Ic sont en contentieux avec Bruxelles pour dépassement des taux de nitrates. Une lourde amende menace. La fermeture de la station de l’Ic est effective. Le phosphore s’est accumulé dans les sédiments de la baie pour des siècles. L’extraction des vases du barrage de Saint-Barthélémy, chargées en phosphates et en cuivre, est inévitable. Les coûts seront colossaux et se répercuteront sur ceux de l’eau distribuée.

Plus grave encore, Bruxelles menace de fermer l’activité conchylicole, la pêche et la baignade sur la baie de Saint-Brieuc pour pollution bactériologique. L’économie maritime et touristique de notre région s’effondrerait.

Voilà la triste situation. Et pourtant, les avertissements n’ont pas manqué, tels ceux du Cabinet ASCA en charge du Plan départemental pour l’environnement : « si le département persiste dans son modèle de développement agricole, il va dans le mur, la seule alternative est dans le modèle de développement initié par le CEDAPA ».

L’INRA, en collaboration avec le Conseil Général des Côtes d’Armor, a expertisé entre 1993 et 1998 27 exploitations du CEDAPA. Les résultats ont été publiés par l’INRA dans son livre « A la recherche de l’agriculture durable ». Les taux de nitrates ont été réduits des deux tiers, ceux des pesticides par 20 et les revenus ont augmenté.

On sait donc que faire : plus d’herbe, moins de maïs, fumier et compost à la place du lisier, dates d’épandage en synergie avec la végétation, pas de sols nus en hiver, arrêt des arasements et reconstruction des talus, arrêt du drainage des sols humides et remise en herbe de ces terres drainées et cultivées, interdiction des régulateurs de croissances, de la monoculture et de la plasticulture, toutes mesures du cahier des charges du CEDAPA, mesures nationales entérinées par Bruxelles et qui donnent accès aux aides agri-environnementales.

La vérité est que le modèle de développement agricole dit productiviste (la recherche du profit à partir d’une production de masse basée sur l’azote, les pesticides, les aliments et les élevages concentrationnaires) nous a mené dans l’impasse écologique totale mais il nous mène aussi dans l’impasse économique. Nous sommes les derniers de la classe pour le revenu par travailleur et ce sera pire demain car il n’y aura plus de débouchés pour les œufs de poule en cage (c’est déjà amorcé), les cochons sur caillebotis, la viande bovine et les produits laitiers de vaches nourries au maïs et au soja. Les consommateurs, en effet, sont de plus en plus sensibles au bien-être animal et à la qualité.Il est urgent pour toutes ces filières de se reconvertir aux méthodes d’élevage et d’agriculture durable si elles veulent éviter leur effondrement avec toute la crise économique et sociale qui s’ensuivra pour la région.

Il est urgent d’agir.

Des émissions telles que celle de Thalassa, en nous réveillant, sont bénéfiques

 

 

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