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actualite agricole

Xavier Beulin, nouveau patron de la FNSEA... Un atout politique de poids, proche des pouvoirs en place.

10 Avril 2011 , Rédigé par jr Publié dans #actualité agricole

Plastiques végétaux : Lille contre Lyon et Compiègne

jeudi 07.04.2011, 05:12- Y. B.

Michel Serpelloni (Roquette) et Francis Wallart (Lille 1).
| GRAND PROJET INDUSTRIEL |

Aucune information ne filtre et ne doit filtrer. L'agence nationale de la recherche ne va-t-elle désigner qu'un seul lauréat sur les trois ? Ou deux pour deux instituts d'excellence nationaux en chimie verte ? Mystère et boule de résine végétale. ...   

 

Le projet nordiste consiste à créer un institut français pour les matériaux agrosourcés (IFMAS). En face, les Lyonnais proposent leur projet INDEED avec le pôle de compétitivité Axéléra, axé sur l'économie de la matière et de la ressource énergétique.







En face, il y aura aussi (surtout ?) le projet picard PIVERT, porté par le pôle de compétitivité IAR sur les agroressources. PIVERT est mené par Sofiprotéaol, leader français des oléagineux, présidé par Xavier Beulin, nouveau patron de la FNSEA... Un atout politique de poids, proche des pouvoirs en place.

Les Lillois avaient souhaité intégrer le pôle IAR à leur dynamique, ils reçurent une réponse négative alors que l'INRA parut hésiter un moment avant de choisir le seul projet, celui du Nord, qui se propose de créer une véritable filière industrielle. « C'est notre force puisque l'IFMAS a pour objectif de maintenir et créer des emplois, en valorisant un procédé innovant et en partageant les inventions », explique Michel Serpelloni, directeur de recherche chez Roquette et cheville ouvrière du projet.

« Un projet réellement exceptionnel en France, ajoute Francis Wallart, ancien directeur régional de la recherche et chercheur émérite de Lille 1. Où trouve-t-on ailleurs des contrats entre universités et industriels sur dix ans, avec une telle collaboration public-privé, avec un tel partage des portefeuilles de brevets ? ».

La déception serait immense

La déception sera immense si Paris ne choisit pas Lille, une décision officielle étant attendue les semaines suivantes. Notre région gagne trop peu au jeu des concours entre projets. Retoqués presque tous, les labos ou équipements d'excellence ; retoqué l'institut hospitalier universitaire ; retoqué fin mars le campus universitaire d'excellence du PRES.

Le gain d'un institut ferroviaire est largement insuffisant pour la quatrième région économique de France qui voit filer les millions du grand emprunt. Alors l'IFMAS ?

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Pour une Agriculture Paysanne

16 Mars 2011 , Rédigé par jr Publié dans #actualité agricole

 

 

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Lait : les producteurs veulent un revenu décent

22 Février 2011 , Rédigé par jr Publié dans #actualité agricole

 

 

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« Si on ne sait pas vendre, on ne s'en sort pas. »

22 Février 2011 , Rédigé par jr Publié dans #actualité agricole

Producteurs et distributeurs, une relation complexe

 

                    Michel Hamel et Claude Dossot, président de l'association des membres de l'ordre du Mérite agricole




 

« Je suis un paysan en activité », dit de lui-même Michel Hamel. « Je devrais être en retraite, mais la retraite, cela m'ennuie. » Ancien syndicaliste agricole, il avait été exclu des instances dirigeantes de la FNSEA au début des années 90. Sans rancune pour l'épisode, il en viendrait même aujourd'hui à remercier ceux qui ont manœuvré pour l'exclure. Paysan éleveur, son exploitation se trouve en bordure des marais du Cotentin, dans le département de la Manche. dernièrement, il était invité à l'assemblée générale de l'association auboise des membres de l'ordre du mérite agricole pour donner une conférence sur les relations souvent compliquées entre producteurs et grande distribution.
« Ce qui revenait souvent dans les discours à l'époque, c'était que la grande distribution prenait ses marges, et qu'il ne restait pas grand-chose à l'éleveur. » En 1992, Michel Hamel et quelques confrères décident de s'associer pour créer une filière « qualité normande ». A l'origine, « notre idée était de proposer notre viande aux bouchers traditionnels de la région. » Mais l'affaire ne s'est pas faite. Jusqu'à cette rencontre avec le responsable qualité d'une

chaîne de grandes surfaces. « Il voulait des relations plus étroites avec les producteurs. » Le cahier des charges de la filière qualité est très strict, mais il permet ainsi aux producteurs de proposer aux grandes surfaces de la chaîne en question une viande de grande qualité.
  Aujourd'hui, alors qu'il n'y avait au départ que quatre exploitations, la filière dont Michel Hamel est toujours président réunit environ deux mille exploitations et fournit en viande labélisée cent vingt supermarchés.
  Les raisons du succès de cette filière « qualité normande » sont multiples, et pour Michel Hamel, c'est la preuve que les producteurs peuvent travailler avec la grande distribution. « Il faut être clair, savoir ce qu'on veut et surtout ne pas lâcher. Ils sont tellement forts qu'on ne peut pas négocier en groupe avec eux. » Les relations de la filière avec son distributeur sont aujourd'hui pacifiées, même si ce n'a pas toujours été le cas. « Si on ne sait pas vendre, on ne s'en sort pas. »

 

 

 

 

 

En 1992, Gault-Millau classe le boeuf normand en tête de son palmarès sur la saveur des viandes

http://www.liberation.fr/economie/0101161099-la-vache-labellisee-avenir-de-l-eleveurla-viande-certifiee-normande-a-seduit-carrefour-qui-travaille-avec-800-producteurs



 

 













 

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SIA 2011

19 Février 2011 , Rédigé par jr Publié dans #actualité agricole

 

 

 

Joint au téléphone par l'AFP, le président de FNE, Bruno Genty, a déploré
qu'on reproche à son organisation "d'opposer les Français les uns contre les
autres".

 

"Il n'est pas déplacé de demander la mise en oeuvre des engagements
agriculture du Grenelle de l'Environnement, il y a aussi beaucoup de citoyens
sensibles aux questions d'environnement et de santé publique", a-t-il
ajouté.

 

"Notre intention n'a jamais été de dénoncer les agriculteurs mais plutôt de
mettre l'accent sur les excès de l'agriculture industrielle", a-t-il
affirmé.

 

"A titre d'exemple, l'arrêt des importations d'OGM pour l'alimentation du
bétail (un des thèmes de la campagne de FNE) va dans le sens d'une meilleure
défense des produits issus des terroirs, et donc des intérêts économiques du
pays", selon M. Genty.

 

Cette semaine, le ministre de l'Agriculture, Bruno Le Maire, avait qualifié
de "scandaleuse et inacceptable" la campagne de FNE lancée dans quelques
stations du métro parisien.

 

De son côté, la ministre de l'Ecologie, Nathalie Kosciusko-Morizet, avait
défendu "le droit d'expression" des associations environnementales, estimant que
"c'est un principe fondateur du Grenelle de l'Environnement".

 

"Par souci d'apaisement", FNE avait renoncé vendredi à participer à trois
tables rondes auxquelles elle était invitée lors du Salon de l'agriculture.

 

http://www.rtl.fr/actualites/vie-pratique/environnement/article/au-sia-sarkozy-s-en-prend-a-france-nature-environnement-7661563704

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FDSEA 60 Lait

15 Février 2011 , Rédigé par jr Publié dans #actualité agricole

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Les bouchers surveillent de près les filières courtes

13 Février 2011 , Rédigé par jr Publié dans #actualité agricole

publié le 26.01.2011 02h01

/ Photo Séverine Fabre

zoom

 

 




Le syndicat des bouchers de Haute-Loire regroupe en son sein vingt-neuf adhérents pour une centaine de professionnels en exercice sur le département. Comme bon nombre de leurs homologues des métiers de bouche, les bouchers ont essuyé les plâtres de la crise. « Plus sur la fin d’année, précise le président Serge Thioulouse, mais nous avons pu compenser avec l’aspect traiteur. Les gens ont moins de temps, alors c’est une activité qui fonctionne bien. » Ils renouvelleront leur participation aux opérations en direction des jeunes. « L’année dernière, nous étions à la Nuit de l’orientation. Depuis trois quatre ans, une vingtaine de jeunes font le choix de notre filière. » Le savoir-faire n’est donc pas prêt de se perdre, encore moins compte tenu des formations proposées aux maîtres d’apprentis. « Nous avons deux Meilleurs apprentis départemental, qui vont participer au Meilleur apprenti régional, le 21 avril. » Au niveau national, ils demandent que l’abattage familial soit proscrit. Si pour l’heure, ils ne tirent pas la sonnette d’alarme, ils avouent surveiller de près l’ensemble des études menées sur les filières courtes. « Nous participons aux filières courtes, en vendant le Porc de Haute-Loire ou encore le Fin gras ainsi que les autres viandes élevées dans le département. Il n’est pas question que pour sauver une filière qu’on en supprime une autre. Pour l’heure, nous sommes attentifs. »

 

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