suivi de la ferme
Truc et astuce: Tout savoir sur les abcès (pied)
laisser murir (dans un sac de son humide) pour que l'abcès perce de lui même
http://www.1cheval.com/membre/forum/general/sujet-1722528-0-tout-savoir-sur-les-abces-pied
2020 Les systèmes autonomes ou la complémentarité entre les productions
Développement basé sur les systèmes de production autonomes, systèmes bien réglés,
productifs. Economie durable (peu sensible aux intrants), moins vulnérable.
Les exploitations produisent leurs fourrages, leurs concentrés, leur paille. Elles sont économes
en intrants. C’est un système complexe, diversifié. L’agriculteur est à la fois éleveur et
cultivateur, il peut posséder plusieurs ateliers en production animale. Il a des contraintes
d’organisation du travail, avec de la gestion de main d’oeuvre contraignante.
C’est un système en équilibre entre le système herbager et le système céréalier. Il peut
rapidement se transformer à l’occasion de l’arrivée d’un jeune, d’une reprise, car le capital à
investir est important et la gestion des relations humaines (salariés ou associés) n’est pas
simple. Ce système est aujourd’hui « poussé par un vent contraire » pour se spécialiser et être
plus rentable à l’heure de main d’oeuvre, donc avec une perte globale de production.
Postulat : on recherche la diminution des intrants et la baisse des charges opérationnelles.
Les bovins sont produits à l’herbe, sans azote et avec très peu de concentré. Il y a baisse de
productivité par vache.
Les assolements sont allongés. L’herbe est cultivée : foin, ensilage.
La production de viande s’extensifie. Avec des céréales chères, les ateliers d’engraissement
spécialisés n’ont pas le vent en poupe.
Descriptif
:
Ce scénario serait favorisé par une crise importante où l'augmentation du prix des produits
agricoles est très insuffisante pour compenser la flambée des intrants. Par conséquent, les
productions intensives (taurillon, lait hors sol...) et les systèmes spécialisés (tout herbe ou
100% céréales) sont remis en cause. Les agriculteurs cherchent à maximiser la
complémentarité entre production céréalière et élevage (céréales et paille pour l'élevage en
contrepartie du fumier pour les cultures). Les systèmes de polyculture élevage, adossés sur
plusieurs ateliers, résistent mieux à la volatilité des prix que les systèmes spécialisés. Les
éleveurs se reposent d'avantage sur l'herbe en optimisant la valorisation des surfaces par une
meilleure gestion du pâturage et la récolte de fourrages de qualité. Les chargements se situent
autour de 1,25 UGB/ha d'herbe, ce qui correspond à des systèmes autonomes en fourrages,
avec un faible niveau de fertilisation (0 à 30 u d'N/ha). Optimisation de la valorisation des
déjections animales en tant qu'éléments fertilisants. L'ensilage d'herbe est utilisé dans
certaines rations hivernales pour les vaches laitières. L'ensilage maïs est en régression
(conservé uniquement dans la moitié des systèmes laitiers et jamais en ration complète). Les
céréales autoconsommées sont préférées à l'achat d'aliments du commerce.
1. Installation / transmission
Pas d'accélération de l'agrandissement dans ce scénario; certains hésitent à reprendre des
surfaces éloignées du siège de l'exploitation; ce qui laisse des opportunités d'installation à
d'autres. La rentabilité des exploitations repose sur la technicité des agriculteurs pour produire
à faible coût, mais pas forcément sur de gros volumes.
En terme de transmission, des systèmes à taille modeste qui restent rentables dans ce scénario
sont plus faciles à transmettre.
2. Social
Ce scénario préserve un nombre d'exploitation et une main d'oeuvre agricole relativement
importants. L'orientation vers des systèmes de polyculture élevage multiplie les compétences
nécessaires et la charge de travail avec le nombre d'ateliers. Cependant, la recherche de
l'autonomie conduit les éleveurs des systèmes les plus intensifs à réduire leurs effectifs
animaux et des solutions sont recherchées pour alléger la charge de travail (itinéraires
simplifiés sur cultures, monotraites, alimentation hebdomadaire...).
3. Impacts sur l’environnement
Pas de retournement de prairies ou très peu (uniquement dans les systèmes tout herbe qui
recherchent un peu d'autonomie avec quelques ha de céréales)
Moins d'intrants consommés (fuel, engrais, phyto...) et recherche d'économie d'énergie ou
d'énergies nouvelles pour alimenter le fonctionnement de l'exploitation tout en étant
favorables à l'environnement (photovoltaïque, récupérateur de chaleur, éolien...)
4. Territoire
Impact positif grâce au maintien des herbages et d'un tissu d'exploitations avec une diversité
de systèmes. Maintien des herbages et entretien du paysage. Maintien du tissu rural.
5. Filières
Impact négatif sur les filières et leurs opérateurs en raison de la recherche d'autonomie qui
entraine une diminution du nombre d'animaux et des quantités de céréales produites, avec une
baisse des consommations d'intrants (engrais, phyto, carburants, aliments du bétail...)
Des enjeux existent pour relancer des filières locales, compte tenu des coûts de transport
élevés.
Les atouts
:
Systèmes plus proches des attentes sociétales et qui peuvent prétendre à des mesures agrienvironnementales.
Systèmes qui évoluent vers une moindre dépendance, ce qui les rend plus robustes.
Complémentarité entre ateliers dans les systèmes polyculture élevage
Les contraintes
:
Accessibilité du pâturage
Parcellaire éloigné
Besoin de compétences multiples lié aux nombre d'activités différentes
Charge de travail nécessitant la recherche de solutions
http://www.haute-marne.chambagri.fr/kit/fileadmin/documents/elevage/prospective2020.pdf
Tréfle Rouge
Interculture de tréfle rouge (incarnat) semé le 12.09.2009 Photos prises le 24.05.2010
EVALUATION DU DEPISTAGE DES MAMMITES PAR LA CONDUCTIVITE ELECTRIQUE DU LAIT
http://oatao.univ-toulouse.fr/3387/1/hartmann_3387.pdf
1.4. Conductivité électrique du lait
Le détecteur de mammites subcliniques
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Le détecteur de mammites subcliniques
Aussi Bionature a conçu un détecteur portable, léger, d’un coût très modique, qui met dès aujourd’hui cette technique à portée de tous les éleveurs.
Lorsqu’il y a une mammite subclinique, la concentration des sels dans le lait augmente et de ce fait la conductivité de ce lait augmente. L’appareil, en mesurant la conductivité, permet de détecter la mammite subclinique.
Lorsqu’un quartier présente une conductivité supérieure de plus de 15% à celles des autres quartiers, la probabilité de mammite subclinique est très forte et de plus en plus en forte au fur et à mesure que cette différence s’élève. Des dizaines de milliers de mesures depuis plusieurs années nous ont permis de vérifier cette corrélation.
Cet appareil est fabriqué en France, une démonstration gratuite peut être réalisée en élevage sur demande de l’éléveur. Le détecteur bénéficie d’un service après-vente de proximité, d’une garantie d’une durée exceptionnelle de deux ans.
Leucocytes
Les techniques optiques de comptages cellulaires (laiterie, contrôle laitier) ne distinguent ni la nature ni l’origine des leucocytes, or, il est nécessaire de les connaître pour pouvoir intervenir à bon escient.
Dans 30% des cas seulement l’élévation du taux leucocytaire a pour origine la mamelle.
Le détecteur Bionature permet de confirmer ou non cette cause. Si l’affichage est rouge, les leucocytes proviennent de la mamelle, s’il est vert, la mamelle n’est pas concernée, il faut intervenir sur les autres causes.
Les techniciens Bionature sont à la disposition de l’éleveur pour réaliser gratuitement une étude sur ce point important et proposer à l’éleveur, s’il le souhaite, des solutions adaptées.
BVD
La détermination du statut permet d’évaluer le degré de présence de la BVD dans une exploitation, et ainsi de proposer des mesures préventives et/ou des analyses complémentaires.
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Elevage « B » :
Ces élevages ont peu de vaches séropositives, et sont à risques cliniques élevés en cas de circulation du virus BVD.
Elevage « C »
Ces élevages vivent une augmentation apparente récente du taux de vaches séropositives. Cela peut être lié à une vaccination récente ou à l’introduction dans le troupeau d’une génération de génisses séropositives.
http://www.gdma76.fr/rubrique/pageLibre000203b7.asp
http://www.agrireseau.qc.ca/bovinslaitiers/Documents/Diarrh%C3%A9e%20virale%20bovine(lr).pdf
http://www.gds38.asso.fr/web/gds.nsf/0/276cbb626f8ff284c1256c87003c3e9e/$FILE/BVDanalyse.pdf
Les mises aux normes économes
Les systèmes homologués par le PMPOA 2
Les Défis Ruraux —
Tel: 02 32 70 19 50
http://www.defis-ruraux.fr/modules/FCKeditor/Upload/File/Maquette%20mise%20aux%20normes%20PDF-1.pdf
Nutrition Animale
Mes fournisseurs:
BIONATURE link
http://www.interbiobretagne.asso.fr/upload/File/Recherche/Elevage/Resultats%20_2006/expe06L4.pdf
Les extraits de plantes : une compétence L’immunité : une valeur sûre Le conseil : personnalisé en élevage Sans engagement |
NEOLAIT link
Désignation : Vitalyt C
Spécialité phytonutritionnelle.
Aliment complémentaire présenté en granulés. Grâce à sa formule riche en actifs végétaux et sa teneur en vitamines E et C, Zinc et Sélénium, l'animal a une protection renforcée vis-à-vis des radicaux libres et la résistance de l'animal est améliorée.
Vitalyt est présenté en sac de 25 kg.
OCTAVET
http://www.octavet.com/octavet-oligo-elements.php
La guerre de L'iode
Pas de carence en iode avec les Aliments minéraux Néolait |
J.M. BEGUIN (1) Direction Technique Recherche et Développement, - NEOLAIT, 22120 Yffiniac - Décembre 2006 |