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pres de chez moi

Dieppe , le PDG d’Alpine

22 Juin 2014 , Rédigé par jr Publié dans #Prés de chez moi

~~“La future Alpine sera un concentré de plaisir dans les virages”

http://www.lesinformationsdieppoises.fr/2014/05/31/interview-bernard-ollivier-nous-voulons-faire-dalpine-une-marque-mondiale/

~~La future Alpine sera bien 100 % dieppoise

Dieppe , le PDG d’Alpine
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tracteurs interdits dans val de saane ????

7 Juin 2014 , Rédigé par jr Publié dans #Prés de chez moi

MODIFICATION DE LA CIRCULATION DANS LE CENTRE

~MODIFICATION DE LA CIRCULATION DANS LE CENTRE BOURG ET ACHATS DE PANNEAUX Les aménagements de la voirie du Centre Bourg ne permettent pas une circulation des engins agricoles et des poids lourds, dans des conditions de sécurité optimales. De plus, le mobilier urbain et la borne incendie située au croisement de la Place Daniel Boucour avec la Route d’Eurville, sont régulièrement détériorés. La circulation des poids lourds et des engins agricoles sera interdite dans le Centre Bourg. Des panneaux de signalisation seront commandés à la Société Art-Cad 66,Route de Varvannes à Val de Saâne. Le montant s’élève à H.T 3 028 € 70 T.T.C 3 622 € 33.

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Thierry Dennequin, agriculteur à Biville-la-Baignarde

2 Mars 2014 , Rédigé par jr Publié dans #Prés de chez moi

Thierry, un agriculteur dans la lumière

© Olivier Bonnet - Thierry Dennequin et Floride au salon de l'agriculture

Félicitations à Floride pour son 1er prix des "femelles en cours de première lactation" au concours général ! Des centaines d'éleveurs de toutes les régions de France se sont donnés rendez-vous à la porte de Versailles à Paris où le Salon international de l'Agriculture rassemble chaque année des milliers de visiteurs venus découvrir les spécialités culinaires et agricoles de chaque région. Pour leur part, les Régions Haute-Normandie et Basse-Normandie accueillaient le public sur un stand commun avec l'Institut régional de la qualité agro-alimentaire (IRQUA).

 

Rencontre avec Thierry Dennequin, agriculteur à Biville-la-Baignarde. 

L'animation phare du Salon, c'est le concours général agricole qui détermine notamment les meilleurs animaux reproducteurs des élevages de France. Il y a l'emblématique concours des plus belles vaches, qui comptait cette années 4 vaches haut-normandes ayant fait le trajet jusqu'à la capitale pour montrer leur plus beau profil ! Parmi elles, Floride a fait le voyage du pays de Caux accompagnée de Thierry Dennequin, agriculteur à Biville-la-Baignarde près de Tôtes. "J'ai acquis Floride il y a moins d'un an dans le but de faire du lait, et je me suis vite aperçu qu'elle avait les qualités requises pour participer à des concours. C'est la première fois que j'ai une vache qui va au salon, je suis très fier d'avoir chez moi l'une des plus belles vaches de France ."
Thierry Dennequin vit avec sa famille sur son exploitation en plein cœur du pays de Caux, il est exploitant laitier et possède une cinquantaine de vaches… Mais la plus belle, c'est Floride . "Elle a tout pour faire des concours : une bonne morphologie, elle est haute, assez musclée et a de très bonnes mamelles. Participer à ce concours représente pour moi une reconnaissance qui valorise mon travail. J'espère par la suite réussir à lui faire faire des femelles pour obtenir d'autres vaches de même qualité."

© Olivier Bonnet - Floride

Floride en quelques chiffres
3 ans
700 kilos
1 vêlage
1ère participation au salon de l'agriculture

Floride est de race normande, qui est ce qu'on appelle une race mixte, c'est-à-dire qui donne aussi bien du lait que de la viande. On la distingue des autres races par la robe qui peut être de trois couleurs, blonde (rouge/marron), bringée (tendance noire) ou caille (presque blanc). On la reconnaît aussi par sa tête toute blanche avec souvent des "lunettes" autour des yeux.  
"La race normande est l'une des meilleures car elle donne du très bon lait avec un fort taux protéique et beaucoup de matières grasses. Elle est également très intéressante pour sa viande grâce à sa grande taille." Résultat, la race normande s'exporte partout en France et bien au-delà.
Exploitant agricole, Thierry Dennequin est aussi un passionné de génétique. "Mon objectif est de participer à l'amélioration de la race normande. Avec les centres d'insémination, nous y travaillons ensemble. La génétique me permet de mieux vendre mes animaux." Grâce aux bonnes conditions physiques de ses vaches, Thierry Dennequin a de bons rendements laitiers et produit 1 100 litres de lait par jour. 
 

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E'Caux centre

25 Septembre 2013 , Rédigé par jr Publié dans #Prés de chez moi

Bio. Fermeture d'E’Caux Centre: à qui la faute ?

Publié le 26/08/2013 à 08H00

Auzebosc. E’Caux Centre, le temple du bio, vit ses derniers jours. La période de continuation d’activité touche à sa fin. Le 4 septembre prochain, les portes se refermeront. Chronique d’une mort annoncée.

Denis Langlois entouré de Julie Laquière et Christophe Félix,

Denis Langlois entouré de Julie Laquière et Christophe Félix,

 

E’Caux Centre, impasse Bidebeau. Pour qui n’est pas du coin, il faut faire preuve d’opiniâtreté pour trouver.
La future zone commerciale d’Auzebosc est en cours d’aménagement. Le bitume est fraîchement posé, le rond-point quasiment achevé, des lampadaires design n’attendent plus que d’éclairer le chaland. Un accès direct sur la nationale qui longe le site est prévu et pratiquement opérationnel. « Dommage… soupire Denis Langlois. Au moins, ces installations seront profitables aux enseignes qui viendront s’établir ici. Pour nous, il est trop tard. »
«Liquidation totale : -50 % pour les souscripteurs et -35 % pour les particuliers. » Un panneau situé à l’entrée du magasin en guise d’épilogue pour l’histoire d’E’Caux Centre, après une existence éphémère de quatorze mois. À quelques jours de la date fatidique du 4 septembre qui sonnera le glas de la structure bio, plus personne ne croit au miracle. « Il n’y a plus aucun espoir, c’est fini… » murmure Julie Laquière, l’une des deux employés. Pour Denis Langlois lui-même, président-directeur-général de la société coopérative d’intérêt collectif et éternel optimiste, la messe est dite : « Autant solder la marchandise et qu’elle profite aux amateurs. Nous ne savons pas ce que tout cela va devenir. »

Le chaînon manquant

Au commencement, Denis Langlois, les salariés, les souscripteurs, le conseil d’administration : tout le monde avait foi en l’idée. « Je n’étais pas seul à porter le projet », ponctue le PDG. Lancé par l’association Aneth, le principe était de mettre en œuvre un pôle régional de l’agriculture biologique et du commerce équitable. « Il y avait une réelle possibilité, regrette Denis Langlois. Avec l’amorce d’un développement de l’agriculture bio en Haute-Normandie, il fallait un maillon entre producteurs et consommateurs pour compléter la chaîne du bio. »

Les collectivités territoriales, elles aussi, ont répondu à l’annonce faite du « manger mieux, manger bio » : la communauté de communes, le conseil général et l’État ont contribué au denier du culte par leurs subventions.

Le chaos financier

Hélas pour E’Caux Centre, les quelques adeptes du bio présents dans la région n’ont pas suffi : « Notre chiffre d’affaires prévisionnel s’articulait autour de deux grands axes : les particuliers, pour lequel d’ailleurs les résultats ont été au-delà de nos espérances, et le secteur professionnel, notamment la restauration hors domicile (RHD), par exemple les cantines scolaires. » C’est ce dernier secteur, censé représenter deux tiers des rentrées d’argent, qui a péché. « Pourtant, le Grenelle de l’environnement visait 20 % de bio dans le menu des établissements publics pour 2012… » ironise Denis Langlois.

Ainsi, le bâtiment n’est pas encore construit que le chemin de croix commence. Tout commence par une mise en cessation de paiement dès septembre 2011 pour terminer les travaux et pouvoir payer les entreprises une fois les subventions versées. « Il y avait un million d’euros dehors », explique Denis Langlois.

Mais le redressement judiciaire n’arrange pas les affaires du centre. D’une part, les banques toutes-puissantes ne leur renouvellent pas les prêts-relais, d’autre part, la chapelle des marchés publics leur est définitivement close. « Connaissant notre situation, nos réponses aux appels d’offres se soldaient systématiquement par un refus », déplore le PDG.

Enfin, la Haute-Normandie était-elle prête à suivre l’apôtre du bio sur la voie de la rédemption ? « Les populations de nos régions sont très prudentes, avance Denis Langlois. Le Normand avance à tâtons. La culture du bio n’est pas encore entré dans les mentalités comme ailleurs, il y a trop de préjugés. » Le consommateur n’a, selon l’écologiste, pas encore conscience de l’impact des méthodes actuelles de production et leurs dangers pour la santé et l’environnement. Pourtant, il continue d’espérer : « S’il y a un repreneur et si le centre poursuit sa vocation, j’espère que cela marchera un jour. »
Un gâchis pour Denis Langlois qui y croyait vraiment.

 

 
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Eboulement falaise , Orage

28 Juillet 2013 , Rédigé par jr Publié dans #Prés de chez moi

L'arrivée d'un orage violent, le 27 juillet 2013, sur la route, entre les Grandes-ventes et Dieppe
     
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L'incendie du camion citerne à Rouen

2 Novembre 2012 , Rédigé par jr Publié dans #Prés de chez moi

   
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il est beau le silo.

20 Octobre 2012 , Rédigé par jr Publié dans #Prés de chez moi

Les coopératives Noriap et Cap Seine ont signé deux unions de mise en commun de moyens, aval et amont. Début mai, l’union de commercialisation des céréales et oléoprotéagineux Sillage, à laquelle sont associées les coopératives de Luneray (76) et Capsom (80), a été créée. Mi-juin, l’union de semences Séliance a vu le jour, réunissant les outils de production de semences des deux partenaires.

Cap Seine a inauguré, le 21 juin, son nouveau site de St Vaast d’Equiqueville en Seine Maritime.
Cap Seine a inauguré, le 21 juin, un nouveau site de stockage
à Saint Vaast d’Equiqueville en Seine Maritime. (© Cap Seine)

 

Cap Seine inaugure un site de collecte et d’approvisionnement à St Vaast d’Equiqueville

Quatre cellules métalliques rondes permettront de stocker chacune 2.100 t de grains avec un débit de réception de 300 tonnes/heure. A côté de celles-ci, un magasin d’approvisionnement de 255 m² pour la distribution de produits de protection des plantes et un bâtiment de stockage de 840 m² pour l’aliment du bétail et la nutrition des plantes complètent le dispositif. Situé à l’extérieur du bourg, ce site remplacera dans un avenir proche le silo existant au cœur du village, au bénéfice d’une centaine d’agriculteurs du secteur. « Ce site répond à la volonté du groupe de repositionner des sites performants pour remplacer des sites moins fonctionnels, voire obsolètes », explique Jean-Jacques Prévost, président de Cap Seine           

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