finances
Enfin une relocalisation !
Enfin une relocalisation ! Renault va produire à Sandouville (Seine-Maritime) la prochaine version du véhicule utilitaire Trafic, actuellement fabriqué en Espagne et en Grande-Bretagne. L'information est révélée par Le Figaro de samedi, citant l'entourage du ministre de l'Industrie Christian Estrosi et un syndicaliste local CGT. Le 20 mai dernier, la direction de Renault avait indiqué que l'usine de Sandouville, qui emploie 2.
500 salariés, allait être aménagée à partir de l'été pour produire un véhicule utilitaire dont l'assemblage devrait commencer en 2012.
Selon Le Figaro, Renault «tente de convaincre ses partenaires» Opel et Nissan de transférer également à Sandouville l'assemblage de leurs utilitaires Vivaro et Primastar. «Avec Opel et Nissan, la production de véhicules utilitaires pourrait atteindre au total entre 80.000 et 160.000 exemplaires par an, si l'on prend comme base l'activité des deux dernières années», précise le quotidien.
Ouverte en 1964 pour construire la R-16, l'usine Renault de Sandouville a perdu 1.300 emplois, fin 2008 début 2009, dans le cadre d'un vaste plan de départs volontaires.
USA : le président de la banque centrale parle d'espoir et de sacrifices
Le président de la banque centrale des États-Unis, Ben Bernanke, a discerné mercredi des motifs d'espoir pour l'économie du pays mais averti de sacrifices inéluctables risquant d'entraîner hausse des impôts, baisse des prestations sociales, voire les deux. "La crise financière semble essentiellement derrière nous", l'économie "commence à croître de nouveau" mais "nous sommes loin d'être tirés d'affaire", a déclaré M. Bernanke lors d'un discours à Dallas, au Texas (Sud). Parmi les objets de sa préoccupation, M. Bernanke a cité le niveau élevé du chômage (9,7%). "Les embauches restent très faibles", a-t-il dit, malgré le retour du pays à la création nette d'emplois au mois de mars. "Les entraves à l'activité de prêt des banques demeurent. Cependant, un fait crucial est que la peur d'un effondrement du secteur financier a baissé substantiellement", a ajouté M. Bernanke dans cette allocution retransmise à la télévision. Le marché du logement, à l'origine de la crise, reste dans les limbes, a ajouté le patron de la Fed. "Nous attendons toujours de voir la preuve d'une reprise viable" de ce marché, a-t-il dit. M. Bernanke a néanmoins jugé que la croissance économique (qu'il n'avait qualifiée que de "naissante" en février), couplée à la politique monétaire très accommodante de la Fed, devrait être "suffisante pour faire baisser lentement le taux de chômage sur les douze mois à venir". Alors que le déficit budgétaire du pays devrait dépasser cette année le montant inouï de 1.415 milliards de dollars qu'il avait atteint lors de l'exercice précédent, le chef de la Fed a estimé que la situation budgétaire et la population vieillissante des États-Unis imposeraient à l'avenir un arbitrage douloureux entre impôts, prestations sociales et dépenses publiques. Parlant de "choix difficiles" M. Bernanke a estimé que le pays aurait à choisir inévitablement entre "des impôts plus élevés, des modifications dans les programmes" d'allocations chômage ou de sécurité sociale, "des dépenses publiques moins fortes, de l'éducation à la défense, ou une combinaison" de ces différentes propositions. "Ce qui ne peut durer éternellement finit par s'arrêter", a dit M. Bernanke. Privilégiant la relance économique à la réduction du déficit, le gouvernement du président Barack Obama n'a pas fourni de plan sur la façon dont il compte s'y prendre pour ramener le déficit budgétaire aux alentours de 4% à moyen terme comme il l'a promis. "Mais à moins que nous ne fassions la preuve, au niveau national, d'un engagement fort en faveur d'un budget responsable, nous n'aurons à long terme ni la stabilité financière, ni une croissance économique forte", a averti M. Bernanke. Vu les conditions actuelles, "une réduction forte du déficit budgétaire à court terme n'est probablement ni possible ni conseillée", a dit M. Bernanke, "cependant, rien ne nous empêche de commencer à élaborer un plan crédible pour faire face à nos défis budgétaires à long terme". Pendant sa campagne électorale, M. Obama a promis d'étendre au plus grand nombre la couverture maladie et de baisser les impôts des classes moyennes. Il a pour l'instant tenu parole. Des millions d'Américains de la classe moyenne devraient bénéficier du passage de la réforme de l'assurance santé, mais la presse rapporte régulièrement les cas d'États fédérés ployant sous le coup de la dette et réduisant leurs prestations sociales, ce dont sont victimes en premier lieu les plus démunis. |
2008 Le Crédit Agricole
Inauguration des îles Crédit Agricole sur Second Life
envoyé par stonfield-inworld
2009 Retour dans le monde Réel.............
https://new.boursorama.com/forum/message.phtml?file=382438736&pageForum=1
Le pétrole baisse après le bond des stocks américains
La Tribune.fr - 14/01/2009 à 21:51
La baisse de l’inflation
Depuis 3 mois l’inflation ne cesse de baisser en France, 1,6 % en novembre 2008 contre 3 % en septembre dernier et le phénomène devrait se prolonger en Janvier avec la période des soldes.
En matière d’énergie, certains produits ont carrément plongé comme le pétrole Les cours des denrées alimentaires amorcent eux aussi une forte baisse comme le blé ou le lait notamment. Mais si le consommateur voit la différence à la pompe pour l’essence, il attend encore de constater cette baisse dans son caddie.