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FNSEA depuis 2 ans

4 Janvier 2011 , Rédigé par jr Publié dans #FNSEA

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Xavier Beulin nouveau président de la FNSEA

4 Janvier 2011 , Rédigé par jr Publié dans #actualité agricole

 Il y indiquait notamment qu’il importait pour les agriculteurs de « gagner en
compétitivité, de reconquérir la juste part de valeur ajoutée, de favoriser
l’investissement et la modernisation de nos exploitations » face à l’ouverture
des marchés.

 

Avant son élection à la FNSEA, Xavier Beulin a annoncé qu’il renoncerait à la
plupart de ses responsabilités, à l’exception de Sofiproteol. Un exemple selon
lui « pour mettre en œuvre, avec d’autres partenaires, nos ambitions ».

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PARTOUT, mais vrai-vrai-vraiment…….. partout !

2 Janvier 2011 , Rédigé par jr Publié dans #actualité agricole

Voici comment un agriculteur politicien  noyaute le système

Voilà l’exemple d'un  noyautage du système au profit des filières et du syndicat majoritaire par un seul homme.

Monsieur Xavier Beulin a été nommé récemment Président de France Agri Mer, par le Ministre de l’agriculture !

Il y a beaucoup à dire sur Xavier Beulin, et son curriculum vitae.



Source: Fotosearch
Source: Fotosearch
C’est un Homme très impressionnant, il est absolument, PARTOUT, mais vrai-vrai-vraiment…….. partout ! 

- FNSEA, Cetiom, Sofiproteol, Chambres d’agriculture, CESR, etc…… 

« M. Xavier BEULIN » 

Né le 19 décembre 1958 à Donnery, Loiret 

Exploitant agricole en GAEC dans le Loiret depuis 1976 sur une exploitation de 170 hectares de grandes cultures, céréales et oléoprotéagineux. 

RESPONSABILITÉS :

RÉGIONALE : 

1. Président du Conseil économique et social régional du Centre (CESR) (depuis 2001). 

2. Président de la chambre départementale d'agriculture du Loiret (depuis 1995). 

3. Vice-président de la Fédération départementale des syndicats d'exploitants agricoles du Loiret (FDSEA) (depuis 1990). 

4. Premier Vice Président de la chambre régionale d'agriculture du Centre. 

5. Président de la commission "Questions agricoles" de l'Assemblée des Conseils économiques et sociaux régionaux de France (depuis 2005). 

6. Membre de la Conférence nationale des services publics en milieu rural (depuis 2005). 

Président de l’Association Bioénergie Centre (depuis 2006) 

Président du Conseil de Développement de la Communauté d’agglomération Orléans Val de Loire (depuis 2004) 

NATIONALES 

7. Premier Vice Président de la FNSEA depuis 2005 et Président du Comité de coordination des associations spécialisées 

8. Président du Haut Conseil à la Coopération Agricole (HCCA) (depuis 2007) 

9. Président de la Fédération nationale des producteurs d'oléagineux et protéagineux (FOP) depuis 1999 

10. Président de Sofiproteol (depuis 2000) 

Président du Cetiom (Centre Technique Interprofessionnel des oléagineux métropolitains) (depuis 2000) 

11. Membre du conseil de direction de l'Office national interprofessionnel des grandes cultures (ONIGC) et administrateur de l’Agence unique de paiement (AUP) (depuis 2006) 

12. Membre du groupe restreint du comité technique permanent de la sélection des plantes cultivées (depuis 2006). 

INTERNATIONALES : 

Président de l’Alliance Européenne des oléoprotéagineux (EOA) (depuis 2002)- L’EOA a pour objet de défendre le secteur oléagineux européen au travers de dossiers d’intérêt général. 

Membre du Conseil de prospective européenne et internationale pour l'agriculture et l'alimentation (depuis 2006) 

DÉCORATIONS :

Officier du Mérite Agricole 

Chevalier de l’Ordre National du Mérite. 

……………………………………………………………………… 


Il faut espérer que les médias et le public sauront faire la part des choses, entre me surettes et réforme profonde. 

Aujourd’hui, l’agriculture a besoin d’une vision à long terme, pour une protection sociale dans nos campagnes. 

Aussi dit  campagne !

Protection de la biodiversité, de l’environnement, il faut exiger des Politiques des ambitions à la hauteur du désastre causé par la Politique Agricole Commune (PAC) instauré par ce même Syndicat nommé FNSEA.
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LE COSTUME DES JOURS OUVRIERS - ARTISANS ET PAYSANS

2 Janvier 2011 , Rédigé par jr Publié dans #pays de caux

LE COSTUME MASCULIN

 

Au XVIIIème siècle, la chemise et la culotte de toile sont les vêtements de travail des ouvriers agricoles    l'été. Un mouchoir de toile noué autour du cou complète la tenue. Les guêtres ou houseaux de toile ou de coutil protègent les bas ou les jambes (pour ceux qui n'ont pas de bas. Les sabots de bois    économisent les chaussures réservées aux jours de fête. Le chapeau à bord (feutre de laine)  abrite du soleil ou de la pluie et se porte sur un bonnet de laine.

A la fin du XVIIIème siècle, le velours de coton est adopté pour la confection des culottes et la siamoise    (chaine:lin - trame:coton) rayée pour les pantalons.

 

Au XIXème siècle, la blaude ordinaire (non brodée) connut un grand succès tout au long du siècle chez les    classes laborieuses, elle fut parfois le seul vêtement avec le pantalon de coutil.

 

La casquette devient une coiffure populaire vers le milieu du XIXème siècle. Précédemment, les premières    casquettes furent portées par des citadins et des propriétaires ruraux fortunés. A partir de 1850 environ, elle devint le crouvre-chef des ouvriers, des paysans et des matelots. C'est    vraisemblablement  à la fin de ce siècle que la casquette "à pont" est à la mode chez les cultivateurs.

 

La cravate, comme au siècle précédent, est un mouchoir noué.

 

Les vêtements de protection sont rares : les gilets de peau de mouton préservent du    froid et de l'humidité. Le tablier de cuir est porté par les bourreliers et les forgerons.

 

trio-paysan.JPG

 PAYSAN AVEC MOUCHOIR DE COU ET    BONNET DE COTON

PAYSANNES PORTANT CALIPETTE ET BONNET    DE DESSOUS

 

LE COSTUME FÉMININ

 

Au XVIIIème siècle, la tenue féminine quotidienne comprend : Chemise de toile à manche,    corselet, jupes de toile ou de siamoise légère ou d'épais tissus selon la saison, mouchoir de cou, bonnet matelassé, tablier de toile oiu de lin, bas de laine et sabots de    bois. 

 

Pour s'abriter des intempéries, la femme s'enveloppe dans une cape appelée "capot", un vaste    capuchon protège la tête. Quelquefois c'est un tablier de droguet que l'on met sur la tête et les épaules poyur se protéger du mauvais temps. On l'appelle "tablier à    s'affubler".

 

Au XIXème siècle, les articles de bonneterie, par leur bon marché et leur facilité    d'entretien, sont adoptés par les femmes, en particulier le bonnet de coton, qu'elles portent le jour pour travailler. Mais elles possèdent d'autres bonnets journaliers : bonnets matelassés    (simples et de petites dimensions), serre-tête, calipettes, bonnets à pattes nouées sous le menton, bonnets carrés. Elles utilisent aussi le dessous des bonnets ronds qu'elles portent les    jours fériés (départements de l'Eure et de la Seine-Maritime autrefois Seine-Inférieure). 

 

L'abondante production normande des mouchoirs de cou imprimés permet aux femmes d'en    posséder un grand nombre aux décors variés.

 

 

Les bas de coton fabriqué sur métier sont unis, rayés et même    imprimés.

 

 

Margot-Calipette.JPG

 PAYSANNE PORTANT BONNET DIT    "CALIPETTE"

 

serre tete duclair

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

PAYSANNE PORTANT UN BONNET SERRE-TÊTE

 

( DUCLAIR ET LES BORDS DE SEINE)   

 

 

 

 

 

 

 

 

 

filles-bonnets.JPG

 

 

 

 

JEUNES PAYSANNES ENTOURANT UN RICHE FERMIER

 

PETIT BONNET SIMPLE

CALIPETTE FLEURIE

 

 

 

 

 

 

 

 

Jeanneton-Varengeville.JPG

PAYSANNE  GOÛTANT LE CIDRE NOUVEAU

BONNET DE VARENGEVILLE SUR MER

 
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